Kahn Lusth

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Tabletop Simulator - Le jeu de société chacun chez soi

Vous adorez les jeux de société, mais tout votre entourage est toujours « trop occupé » pour venir jouer chez vous. Éric doit réparer sa voiture, Kamel est invité à un mariage, Martine va au zoo... Pourtant, les agendas de ministres ne sont pas une fatalité, puisque Tabletop Simulator permet de jouer à certains titres, depuis son PC et comme avec n'importe quel jeu vidéo multijoueur. Une véritable boite à outils très bien fichue, dont les possibilités posent tout de même quelques problèmes.

Bien choisir son jeu de rôle Cthulhu

Avec l'apparition des œuvres de H.P. Lovecraft dans le domaine public, chacun peut intégrer la bande à Cthulhu dans sa propre création. La tendance n'a bien sûr pas épargné le jeu de rôle, qui voit émerger depuis quelques années de plus en plus de titres issus de cet univers. Si bien qu'il n'est pas toujours facile d'en trouver un qui corresponde vraiment à nos attentes. Nous allons donc profiter de ces quelques pages pour faire le point, en commençant par un classique du nom de L'Appel de Cthulhu.

L'auteur tient à remercier Nico, qui lui a permis de défricher les innombrables gammes de jeu estampillées Cthulhu sans sombrer dans la démence.

Shadowrun : Crossfire - Sélection : jeux de cartes

La Légende des Cinq Anneaux - Sélection : jeux de cartes

Horreur à Arkham : Le jeu de cartes - Sélection : jeux de cartes

Vermintide II - Ça va être le Chaos

Je fais parfois un rêve étrange. Assis dans une barque perdue en mer, je pêche pour me nourrir et, pas de bol, je ne sors de l'eau que des jeux estampillés Games Workshop. Encore moins de bol, ceux-ci ont généralement un goût de terre et une texture proche de celle du latex. Alors je recrache en beuglant « mais c'est dégueulasse ! », puis je me remets à pêcher en espérant que ma prochaine prise sera au moins comestible. Tiens, on dirait que ça mord à nouveau...

South Park : L'Annale du destin - Parle à mon cul, ma tête est malade

J'avais envie d'écrire un texte qui aurait offert une réflexion sur l'importance d'une réelle connivence entre le public et l'auteur en matière d'humour. Je vous jure, cela aurait été un truc de dingue, d'une profondeur incroyable et assaisonné de mes meilleurs gros mots. Puis je me suis ravisé : mélanger South Park à de la philosophie post-punk était sans doute le meilleur moyen de retrouver ma moto toute cramée sur le parking de la rédac. Alors rangez vos allumettes pendant que je remise mon brûlot et voyons ensemble ce que vaut le titre d'Ubisoft. Ce sera mieux pour tout le monde.

Albion Online - Et c'est reparti pour Arthur

Sorti discrètement en juillet dernier, Albion Online a défié tous les pronostics. Loin d'être le petit jeu qu'on attendait, limité à une niche de passionnés, le titre de Sandbox Interactive a fait un véritable carton, au point que des bouchons de joueurs se sont formés sur les serveurs. Maintenant que l'hystérie collective est passée, un petit bilan s'impose.

Raid : World War II - On ne va pas couper les chleuhs en quatre

Discrètement annoncé, Raid : World War II n'a pas bénéficié de la force de frappe marketing de Starbreeze, qui s'est pourtant occupé de l'édition du jeu. J'ai donc lancé ce titre présenté comme un « Payday de la Seconde Guerre mondiale » avec un brin de méfiance, sans me douter un seul instant de la catastrophe vers laquelle je fonçais tête baissée.

Darkwood - Qui ne maudit, consent

C'est à chaque fois la même chose. Un jeu flippant est proposé dans la liste des tests et tout le monde se le refile comme une patate chaude. Izual, qui a même peur de son ombre, est disqualifié d'office. Kalash, qui a récemment testé un Resident Evil, estime qu'elle a le droit d'attendre un peu avant de faire remonter son trouillomètre. Et les autres ? Ils se contentent de rire bruyamment avant de dire non. Oui, c'est à chaque fois la même chose, et je finis par prendre le jeu en soupirant et en traitant tout le monde de lavettes.