Matagot vient de lancer son Kickstarter pour Yucatan, le nouveau jeu de Guillaume Montiage, l’auteur de Kemet. Canard PC a pu essayer une version de travail en ligne, histoire de se faire une première idée des mécaniques et du flow du jeu, comme disent les jeunes. Une première rencontre assez mitigée.
Michael Menzel illustre avec talent les créations des autres depuis des lustres. Des jeux DE Michael Menzel par contre, il n’y en avait qu’un : Andor. Alors quand KOSMOS a annoncé un nouveau jeu écrit et illustré par le bonhomme, tout le monde a un peu bandé. Son arc, évidemment. Vous avez l’esprit tordu.
Mes amis, l’heure est grave. Après des années de disette sur la franchise Musclor*, deux studios la ressuscitent EN MÊME TEMPS ! On ne va parler que du projet de CMON, pour deux raisons : c’est délicieusement too much et ça ne sort pas en Europe.
* Oh, vous pouvez bien appeler ça He-Man ou Masters of the Universe… ça reste, et ça restera, Musclor, pour l’éternité.
Un jeu d’enchères et de collection, de l’interaction et un matériel avec une direction artistique tranchée, déjà on lève un sourcil. La possibilité d’acheter des cartes qui changent le comptage individuel de points, on lève deux sourcils. Un jeu conçu par Bruno Faidutti, on lève trois sourcils.
Autant j’aime bien les gadgets, autant quand les éditeurs mettent des bouts de carton ou pire encore, des machins en plastique dans une boîte juste pour surfer sur une hype quelconque, ça a tendance à légèrement m’agacer. À l’inverse, quand quelqu’un parvient à transformer un bout de truc a priori inutile en mécanique centrale d’un jeu, je suis tout joie.
It’s aliiiiiiiiive ! Hmm, en l’occurrence pas vraiment. C’est le décès de votre père qui vous met face à son laboratoire type Frankenstein, et à ses expériences qu’il va falloir comprendre et poursuivre. Le tout sans trop mettre en rogne un village doté d’une susceptibilité à fleur de peau sur des points négligeables comme le pillage de tombes.
Je ne cache pas que les figurines, les maps pleines d’obstacles et la castagne, ce n’est généralement pas trop ce que j’aime qu’on me serve. Mais c’est comme les épinards, il faut regoûter régulièrement… Oui, ce n’est pas impossible que je fréquente trop de gamins en bas âge ces temps-ci. Du coup je me suis laissée embarquer pour tester Caeris et… j’avoue, je savais déjà que j’aimais les épinards, mais ce jeu d’escarmouche est assez goûtu aussi.
Alors, oui, on va parler de la nouvelle version de Gloomhaven mais avant, il va falloir qu'on discute de son titre. Pourquoi Les Mâchoires du Lion ? S'agit-il d'un lion doté de mâchoires superposées ? Ou d'une mâchoire divisée en deux parties indépendantes ? Ou alors ce sont les mercenaires que l'on incarne qui se désignent comme « mâchoires » ? Ce qui revient toujours au même : plein de mâchoires pour un seul lion.
J'ai une terrible confession à faire : quand je joue à un jeu de plateau, il me faut de la thématique. Un univers dans lequel m'immerger. L'impression que l'habillage est davantage qu'un vague prétexte après une grosse panne d'inspiration. Pas de bol (ou « coup de bol » ?), Voyage au centre de la Terre est à la limite de ce que j'arrive à supporter.
Brian Boru est un roi irlandais légendaire, la figure de l’unificateur, du héros, celui qui a rassemblé le pays, à grands coups de hache la plupart du temps. Inutile de vous plonger dans les livres d’Histoire pour vérifier son statut : ce gars a des bières et une chanson d’Alan Stivell à son nom.
Bien que jouable jusqu'à six, dans mon esprit, Dice Throne reste un jeu de duel. Il faut dire que tout est fait pour nous pousser à jouer dans cette configuration, des boîtes qui vendent les personnages par deux jusqu'aux règles qui semblent surtout pensées pour des duos.