C’est sans doute l’un de mes plus grands regrets de ce numéro : je n’ai pas pu mettre la main sur un exemplaire, même un proto, de Vampire la Mascarade : Vendetta. Et c’est vraiment dommage, parce que sur le papier, il y a tout ce qu’il faut de vilenie pour me faire baver du sang comme un teckel vampirisé.
Alors, oui, on va parler de la nouvelle version de Gloomhaven mais avant, il va falloir qu'on discute de son titre. Pourquoi Les Mâchoires du Lion ? S'agit-il d'un lion doté de mâchoires superposées ? Ou d'une mâchoire divisée en deux parties indépendantes ? Ou alors ce sont les mercenaires que l'on incarne qui se désignent comme « mâchoires » ? Ce qui revient toujours au même : plein de mâchoires pour un seul lion.
J'ai une terrible confession à faire : quand je joue à un jeu de plateau, il me faut de la thématique. Un univers dans lequel m'immerger. L'impression que l'habillage est davantage qu'un vague prétexte après une grosse panne d'inspiration. Pas de bol (ou « coup de bol » ?), Voyage au centre de la Terre est à la limite de ce que j'arrive à supporter.
Brian Boru est un roi irlandais légendaire, la figure de l’unificateur, du héros, celui qui a rassemblé le pays, à grands coups de hache la plupart du temps. Inutile de vous plonger dans les livres d’Histoire pour vérifier son statut : ce gars a des bières et une chanson d’Alan Stivell à son nom.
Bien que jouable jusqu'à six, dans mon esprit, Dice Throne reste un jeu de duel. Il faut dire que tout est fait pour nous pousser à jouer dans cette configuration, des boîtes qui vendent les personnages par deux jusqu'aux règles qui semblent surtout pensées pour des duos.
Je n’aime pas les promesses, elles sont faites pour décevoir. Par contre j’aime bien les surprises, et Riftforce en avait été une. Sa première extension arrive avec son lot de promesses. La surprise, c’est que ce ne sont pas elles qui font que ça vaut le coup.