Une fois de plus, jouer à Among Us m'a appris beaucoup de choses sur la justice. C'est une déformation personnelle : tout ce que je fais m'apprend beaucoup de choses sur la justice. J'ai appris, par exemple, que quelqu'un qui bégaie n'est pas forcément coupable, qu'on peut parfaitement être persuadé d'avoir vu quelque chose et se tromper, et que la présomption d'innocence, c'est un peu comme le Père Noël, sauf que la plupart des gens y croient toute leur vie.
Après 35 ans d’une existence pénible et douloureuse, je pense n’avoir appris que deux choses fondamentales : en laissant ses doigts sur la porte, on risque de se faire pincer très fort, et il ne faut jamais, au grand jamais, écouter les conseils d’Ivan Le Fou.
Le pitch ? Un jeu de douanier dans une dictature communiste des années 1980. Les développeurs ? Des Polonais, évidemment. L'éditeur ? PlayWay, forcément. Ai-je besoin d'en dire plus pour vous convaincre que Contraband Police sera l'un des jeux les plus idiots et les plus distrayants de cette fin d'année ?
En 2012, les Français d’Amplitude sortaient Dungeon of the Endless, un fascinant petit roguelike tout en pixel art auquel je dois une partie de mes notes catastrophiques à la fac. Aujourd’hui, le studio reprend le chouette concept de son jeu de jadis dans une suite spirituelle plus moderne, plus vaste et plus ambitieuse.