Les Chevaliers du trône de glace, la nouvelle extension de Hearthstone, est disponible depuis peu. Dans leur immense majorité, les 135 nouvelles cartes ne changent pas le jeu en profondeur. Mais une petite dizaine permettent de remplacer son personnage par une version corrompue dotée d'un nouveau pouvoir spécial. En revanche, difficile d'ignorer les modifications apportées par Blizzard pour rendre son jeu moins onéreux. Première nouveauté : les aventures solo sont désormais offertes, y compris la toute dernière qui nous embarque à la conquête du fameux trône gelé. Comme ça, genre « on vous fait des cadeaux gratuits parce qu'on vous aime bien en fait ». L'objectif ? Ne plus imposer aux joueurs de payer régulièrement une vingtaine d'euros pour obtenir des cartes impossibles à avoir autrement. Deuxième nouveauté, il est désormais exclu, en ouvrant un pack, d'obtenir une carte légendaire que l'on possède déjà. Deux modifications qui devraient donc alléger la facture, mais sans doute pas au point de dissuader les joueurs de claquer une centaine d'euros tous les trois mois pour rester dans la course.
Tout le monde, sur Internet, se tenait prêt. Dans quelques heures, à l'ouverture de la bêta de Diablo IV, retentirait le plus grand ouin-ouin de l'Histoire. Certains seraient déçus que le jeu ne ressemble pas à Diablo II, d'autres à Diablo III ou encore à Path of Exile. Mais tous seraient d'accord sur un point : c'était mieux avant. Or, comme le bug de l'an 2000, le grand ouin-ouin n'a pas eu lieu. Les joueurs de Diablo IV, incroyable mais vrai, semblaient contents.
Il paraît que c’est l’apanage des bons jeux : le pitch tient sur un Post-it. « Une jeune fille et son fidèle ami se lancent dans une mission de sauvetage à travers un monde coloré plein de machines froides et de créatures inconnues » : ce qui est certain, c’est que Planet of Lana ne réinventera pas le fil à couper l’eau tiède.
Pendant qu’on se lamente du déclin des jeux d’infiltration et du coma de Deus Ex, un Californien tout seul développe un simulateur de missions d’infiltration cyberpunk, sans même se soucier de nous prévenir. Un e-mail incendiaire de notre part et une implacable demande d’interview portée par huissier l’ont vite remis dans le droit chemin.
Des troupeaux de chiens faméliques qui errent au beau milieu d’un champ de ruines radioactives, une petite cahute perdue sur un parterre de coquelicots sauvages, un parc d’attractions laissé à l’abandon, un personnage qui se fait déchiqueter dans un marécage peuplé de cochons mutants : il y avait déjà de quoi trépigner face aux premières images de Stalker 2, dont la sortie a été plusieurs fois repoussée depuis le début de la guerre en Ukraine.
« Trouve-moi tout ce que tu peux sur Redfall. Tout le monde a envie de savoir si c’est Left 4 Dead avec une moustache ou Far Cry 3 avec un faux-nez. » Voilà la consigne d’Ellen Replay et voilà pourquoi c’est elle la cheffe : la capacité à identifier le problème.