La déprime totale, cette série. Ça ne parle que de violence conjugale, d'alcoolisme, de pauvreté, d'une jeune femme qui ne s'en sort pas, de sa mère à moitié folle, de son ex qui lui pourrit la vie, et plus généralement, de tout ce que le destin peut envoyer à la tronche de quelqu'un pour l'inciter à se mettre la tête dans le four.
Quand on parle du Tarot, on imagine une vieille diseuse de bonne aventure qui, sous le regard horrifié de l'héroïne d'un film d'horreur, retourne lentement une carte où est écrit « la mort », signe que la pauvre fille ne passera pas la fin de la bobine. En pratique, c'est beaucoup plus intéressant.
Entre le succès de La Nuée, le très émouvant Teddy et la Palme d'or au génial Titane, le moins qu'on puisse dire est que le cinéma de genre français se porte bien. C'est pourquoi, n'écoutant que mon courage et ma fibre patriotique (d'un débit d'1 Gbit/s), je vais vous parler des Sorcières d'Akelarre, un film hispano-argentin.
Voilà donc la meilleure série de téléréalité de l'année. Pourtant, sur le papier, ça partait mal : Jeremy Clarkson, présentateur beauf de l'émission de bagnole The Grand Tour (et avant cela, Top Gear), décide d'exploiter lui-même l'énorme ferme qu'il s'est achetée à une centaine de kilomètres de Londres.
Prenons deux minutes pour analyser ces paroles : « Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Tortues Ninja, Tortues Ninja ! Cowabunga le cri des ninjas ! » Avouez qu'en matière d'introduction, ça se pose là : deux mots, six répétitions et vous savez déjà l'essentiel, à savoir que ça va parler de tortues devenues ninjas. Eh oui, c'est tout à fait normal en 1987. Par contre, il est temps de vous révéler l'infâme vérité.
Steam est gentil. Steam est mon ami. Il m'informe, avant que je ne télécharge la démo de Mask of the Rose : « Ce jeu ne ressemble à aucun des jeux auxquels vous avez joué auparavant, c'est pourquoi il nous est difficile de savoir s'il pourrait vous intéresser. » C'est un peu vrai, ami Steam, ami de mon cœur. Mask of the Rose ne ressemble à aucun autre jeu. C'est un peu faux aussi.
Après les jeux d'horreur Detention et Devotion (vous savez, le jeu qui a tristement été retiré de Steam à cause d'une petite blagounette sur Xi Jinping), le studio taïwanais Red Candle planche sur un jeu d'action/plateforme en 2D dessiné à la main et inspiré par le gameplay de Sekiro. En un mot comme en cent : vous allez souffrir, mais ce sera mis en scène par de très beaux dessins colorés.
Disney a lâché quatre milliards de dollars à George Lucas pour s'approprier Star Wars. Alors il faut rentabiliser l'affaire. Mettant fin au monopole historique d'Electronic Arts sur la licence (qui n'en avait d'ailleurs rien sorti de très glorieux), Mickey a fait la tournée des popotes pour proposer sa belle licence à un maximum de monde. C'est un petit tsunami de jeux Star Wars auquel il faut s'attendre dans les prochaines années, alors faisons le point sur ceux qui sont annoncés sur PC.
C’est très mal, je sais. Il ne faut jamais accorder sa confiance aveuglément à un seul développeur, aussi doué soit-il. Il faut aussi se rappeler que la politique des auteurs a tendance à éclipser toutes les personnes qui participent à la conception d’un jeu, et à faire enfler les chevilles de ceux qui se voient glorifiés au détriment du reste de leur équipe. Et pourtant, j’ai trépigné de joie quand j’ai appris la sortie du « nouveau Sam Barlow », prévue pour cet été.