La fin de l’annualisation des grandes licences de foot est un vieux serpent de mer qui a commencé à trouver une certaine légitimité avec l’arrivée des consoles connectées. Des titres dont les évolutions sont de plus en plus subtiles d’une année sur l’autre, une infrastructure capable de supporter d’importants transferts de données, des éditeurs attirés par les marges du dématérialisé : les justifications pour la fin de l’annualisation dans les jeux de sport se multiplient.