414 résultats pour "de guerre lasse"

Toutes les semaines, un sbire de l'Agence vient visiter la maison pour repérer toute activité suspecte. Il va même compter la vaisselle pour vérifier que la maison est conforme aux standards gouvernementaux.
Mr. Prepper - Click & Collect

Qui n'a pas un jour fantasmé de se fabriquer son propre petit bunker sous-terrain ? De laisser le monde à la surface pour se transformer en homme-taupe et vivre dans la solitude la plus totale, hors d'atteinte des dangers de la société moderne ? « Euh, moi, parce que je ne suis pas un taré paranoïaque », me répondrez-vous. D'accord, alors nous n'avons pas les mêmes ambitions lifestyle, mais que cela ne vous empêche pas de jeter un œil à Mr. Prepper.

Amnesia : The Bunker - Spectacle frisson et lumière

Dans un jeu d’horreur, je trouve qu’il n’y a rien de plus terrifiant qu’un monstre qui vous traque sans relâche et dont les apparitions ne sont pas scriptées, comme le Xénomorphe dans Alien : Isolation et Mr. X dans Resident Evil 2. Enfin si, il y a plus terrifiant : ce moment d’incertitude où vous n’avez encore jamais entrevu votre ennemi, mais où vous sentez sa présence et essayez de vous en faire une image mentale, uniquement fondée sur ses grognements et le bruit lourd de ses pas.

Devrait-on se mettre à jouer sur Linux ? - Envoyons Windows par la fenêtre

C'est une vérité que le monde entier ou presque voit comme une évidence : quand on est amateur de jeu vidéo, le seul et unique système d'exploitation PC envisageable, c'est Windows. Et si l'on se fourvoyait ? Depuis l'an dernier, le Steam Deck de Valve a démontré que l'idée d'un PC Linux consacré au jeu vidéo ne relève en fait aucunement du délire fiévreux. Comment en est-on arrivé là – et devrait-on aussi envisager de faire la transition sur nos ordinateurs de bureau ?

Le TI-99/4A (1981).
Itinéraire d'un enfant 3D - Interview : Alexandre Hadjadj

Dans les années 1980, Alexandre Hadjadj écrivait des petits programmes en BASIC dans sa chambre du 14e arrondissement de Paris. Trente ans plus tard, ce très discret codeur français, qui n'avait jusque-là jamais accordé la moindre interview, occupe l'un des postes les plus prestigieux de l'industrie du jeu vidéo. En tant que technical director chez Rockstar, il chapeaute toute la partie graphique des jeux du studio. Vous vous êtes extasié devant la clarté des décors ou la pureté de l'antialiasing de Grand Theft Auto V ? Vous avez bavé devant les effets de lumière ou l'incroyable distance de vue de Red Dead Redemption 2 ? Alexandre Hadjadj et son équipe d'une trentaine de programmeurs spécialisés, repartie entre l'Écosse et les États-Unis, en sont les responsables. Nous nous sommes vautrés ensemble dans un canapé autour d'une assiette de cookies, et nous avons parlé avec lui de son métier, des moteurs 3D, des consoles, et de son chaotique parcours professionnel dans les méandres de l'industrie du jeu vidéo.

Total War : Pharaoh - Hiéroglyphes and let die

Il faut reconnaître un talent à Creative Assembly : ils ne baissent jamais les bras. On aurait pu penser qu'après avoir raclé les fonds de tiroir de l'Histoire depuis deux décennies pour nous trouver de nouvelles guerres à mener, ils allaient faire une petite pause. Peut-être même changer d'air, s'essayer à un nouveau style en vogue comme le visual novel ou le dating sim. Que nenni.

Dragon Ball Z : Kakarot - Le regard tourné vers Namek

Dragon Ball n'est plus un manga depuis longtemps. C'est devenu une religion dont les exégètes examinent les textes, décortiquent les messages et analysent, sans jamais se lasser, la technique irréprochable de l'auteur. D'ailleurs, comme la Bible, l’œuvre de Toriyama ne fascine pas tant par sa perfection que, à l'inverse, par son incohérence qui permet à toutes les chapelles de se foutre sur la gueule pour déterminer qui, de Broly, de Son Goku, de Gogeta, de Jésus-Christ ou de Moïse, est le plus fort. Alors qu'en fin de compte, tout le monde le sait, mais feint de l'ignorer : le plus fort, c'est Batman.

Credits : Boards.Fireden.net
Campaign for North Africa - L'histoire du jeu de plateau qui durait 1 000 heures

Imaginez un wargame tellement complexe, tellement fouillé, tellement profond, tellement imbitable que personne n'a jamais réussi à en terminer une seule partie. Cette monstruosité existe depuis 1978, elle s'appelle Campaign for North Africa.

Iron Harvest - Tourné vers les mechs

Ultimate General : American Revolution - Les Anglais le détestent

La société n'est pas prête à l'entendre, mais les deux jeux de la série Ultimate General sont les meilleurs STR de ces dix dernières années. Alors quand pointent à l'horizon les canons du troisième épisode, je me mets au garde à vous et me prends à rêver qu'il soit enfin un concurrent sérieux à Total War.

Coffee Talk Episode 2 : Hibiscus & Butterfly - Infusion, deuxfusion

Bip bipbrrrrrrrrmtchhhhhhh – Bonjour monsieur, installez-vous ! Je suis à vous dans un instant. tchhhhbrrrrmfshhhhh – Et voilà madame, votre cappuccino à emporter, comme convenu. Attendez – voooosh – votre fleur préférée dessinée dans le lait, pour porter chance. Et bonne journée ! - ding ding – Monsieur, c’est à nous. Vous avez choisi ?

Les portables « gamers » - Des machines de guerre parfois mal huilées. - Canard PC Hardware 38

Votre nouveau PC portable sera destiné principalement à jouer sérieusement aux derniers blockbusters à la mode. Très bien. Les modèles haut de gamme de ce type démarrent aux alentours de 1 500 euros pour les premiers prix et grimpent allégrement jusqu'à plus de 3 000 euros. Il vous faudra évidemment sélectionner tout particulièrement le GPU intégré. C'est même le premier composant auquel vous devrez vous intéresser.

Warhammer : Shadow of the Horned Rat - Guerre totale au marteau de guerre

Nous sommes en novembre 1995 lorsque Shadow of the Horned Rat débarque sur les étals. À cette époque, les bases de la stratégie en temps réel sont posées depuis trois ans par Dune II : Battle for Arrakis et utilisent désormais des codes précis, que Warcraft et Command & Conquer s'empressent de reprendre. Ce genre, à la destinée toute tracée, va pourtant être bousculé par un jeu signé Mindscape qui posera les bases d'une série bien connue.

The Hunt - Trouvé-coulé !

La mer, les flots sans fin. Un jeu de guerre sur l’immensité bleutée, en y intégrant un jeu de cache-cache tendu, la solution semble crever les yeux : un sous-marin ! Eh bien non, les créateurs de The Hunt me refusent ce petit plaisir et n’intègrent que des bateaux !

Foxhole - Le nerd de la guerre

Des années que j'en suis persuadé : dans un jeu de guerre, le voyage compte bien plus que la destination. Hélas, pas sûr que mes récits de randonnées dans la garrigue d'Arma 3 (une heure de marche en colonne avec dix compagnons pour finir tous fauchés par la même rafale) aient convaincu grand monde. Il y a pourtant un vrai plaisir à retirer d'une patrouille de deux heures dans la campagne déserte. De même, annuler une mission au moment crucial à cause d'une pénurie de munitions crée des souvenirs impérissables. N'allez pas croire que j'avance tout ça sans aucune preuve. J'en ai une. Elle s'appelle Foxhole.

Tannenberg - Le tsar-system

À une époque, les combats futuristes fascinaient le jeu vidéo de guerre : les drones et les détecteurs de mouvement émoustillaient Battlefield tandis que Call of Duty piochait carrément dans un arsenal de fusils lasers. Par bonheur, depuis peu, le FPS militariste est revenu à la raison. Avec Verdun, Heroes & Generals, Battlefield 1, Call of Duty WW2, Holdfast : Napoleonic Wars et maintenant Tannenberg, la guerre retrouve enfin son charme d'antan. Celui des tromblons imprécis, des baïonnettes rouillées et des moustachus qui se noient dans leurs propres tripes. Le bon vieux temps, quoi.

Sigma Theory - La guerre est un plat qui se mange froid

Nous sommes en 2029. Le monde est entré dans une nouvelle période de guerre froide, alors que les plus grandes puissances se font la course pour mettre la main sur une mystérieuse technologie, la théorie Sigma. C’est dans ce contexte sympathique que vous entrez en scène : vous venez d’être embauché à la tête d’une nouvelle cellule d’espionnage et vous devez faire en sorte que votre pays obtienne Sigma en premier, brosser tous les diplomates dans le sens du poil et éviter une potentielle guerre nucléaire – et sauver tous les bébés pangolins de l’extinction et guérir le cancer, tant que vous y êtes.

Le jeu est très bien adapté à la faible résolution des casques VR, avec un cockpit lisible et des ennemis signalés grâce à un système d'étiquette semblable à celui de DCS.
VTOL VR - Enfin une raison de casquer

Je n'ai utilisé le terme « révolutionnaire » qu'une seule fois dans ma vie. Ce fut le jour où j'ai découvert qu'il fallait laisser tomber une feuille de papier toilette au fond des WC pour éviter les éclaboussures en faisant la grosse commission. Avec VTOL VR, je me sens obligé de l'employer à nouveau. Pour les fans de simulateur de vol, cet étonnant jeu indé, développé en solo par un Américain inconnu, est bel et bien une petite révolution.

Quand les développeurs indépendants s’inspirent de la France - Nos régions ont du talent

Quand on cherche de tête les jeux qui représentent la France, on peut penser à des AAA à gros budget comme Assassin’s Creed Unity, des jeux de guerre comme Battlefield, ou encore des tas de jeux de course comme Gran Turismo 4 (et même Mario Kart Tour, si on va par là). Et même si les développeurs français ne sont plus bercés de tant d’insouciance depuis longtemps – saleté d’indiepocalypse –, eux aussi s’inspirent parfois plus du bas de leur rue que du bout du monde. Une représentation plurielle, souvent loin des clichés, et qui touche parfois un public étonnant.

Nuclear Option - Champignon magique

Depuis que Microprose, tel un phénix qui aurait mangé de la viande avariée, est rené de ses cendres pour vomir sur le monde un flux continu de jeux de guerre, la foule des amateurs de simulateurs de vol (foule modérée, qui tiendrait sans mal dans les gradins de la MJC de Guéret) rêve du retour des jeux Microprose de la grande époque. Les développeurs de Nuclear Option, eux, ont eu une idée différente : s’inspirer de l’autre grand nom de la simu' des années 1990 : Novalogic.

Elex II - Le côté obscur de l'elex

Un pillard avec une iroquoise cramoisie se livre à un duel à l’épée. Quelqu’un fuse en jetpack le long d’un gratte-ciel. Un Viking négocie avec un seigneur de guerre. Un soldat futuriste dézingue un vélociraptor au fusil laser. Là, vous vous dites « c’est vraiment n’importe quoi ». Les Allemands de Piranha Bytes, eux, disent « science-fantasy post-apocalytpique ». Ces Allemands, ils ont vraiment un mot pour tout.