Nous sommes à l’été 1996 et Quake vient juste de débouler sur nos bécanes, avec une particularité : il tourne sur un moteur entièrement en 3D. C’est-à-dire que tous les éléments sont générés par des polygones texturés et que le joueur peut se déplacer librement dans l’espace. C’est un énorme pas en avant pour id Software, le studio qui avait déjà démocratisé la 3D sur nos machines au début des années 90. Et pourtant, à l'époque déjà, ça ne paraît pas suffisant ; les journaux commencent à parler d'une technologie qu'ils imaginent pour demain : le ray tracing.
Au début des années 1990, l’IBM PC entame sa domination du marché des ordinateurs personnels et enterre progressivement la concurrence grâce à l’invasion des clones compatibles. Parmi ses victimes, deux machines n’ont pas dit leur dernier mot : l’Amiga de chez Commodore et l’Atari ST.
Choisir un nouveau GPU peut vite devenir un casse-tête pour qui n’est pas rodé aux sirènes du marketing des différents constructeurs. Le nombre incalculable de modèles, de noms qui n’en finissent pas et de gadgets inutiles pour une seule carte ont de quoi décourager, mais pas de panique, nous sommes là pour vous expliquer l’essentiel de ce qu’il faut savoir.
Si vous voulez jouer avec une bonne manette sur PC, comptez environ une soixantaine d’euros. Mais pour une fraction de ce prix, vous pouvez profiter de superbes joypads noname en chinoisium véritable, en provenance directe des entrepôts de Shenzhen. Nous avons décidé d’en tester quelques-uns pour vérifier s’ils valent au moins leurs quelques euros.
Après l’arrivée poussive du ray tracing en novembre dernier, Nvidia a enfin diffusé les patchs pour activer l’autre nouveauté technologique de ses cartes RTX : le DLSS. À l’instar du DXR, le nombre de jeux qui en tirent parti est réduit. On compte pour l’heure Battlefield V et Metro Exodus, qui exploitent également le ray tracing, ainsi que Final Fantasy XV et un benchmark dans 3D Mark.