C’est avec fierté et enthousiasme que Microsoft a communiqué sur « l’étape historique » franchie par le programme Azure Quantum, portant sur le développement d’un ordinateur quantique utilisant le « qubit topologique », une sorte de qubit maison assez sympa, toujours bien mis. Je sais, c’est assez technique comme description, mais c’est aussi ça, le journalisme scientifique total. Dans son billet, Microsoft parle d’une meilleure stabilité que le vulgaire qubit employé par la concurrence – forcément –, ouvrant la voie à des ordinateurs quantiques d’un million de qubits. Mince, un million, ça ne rigole plus. « Azure Quantum a conçu des dispositifs qui lui permettent d’induire une phase topologique de la matière délimitée par une paire de modes zéro de Majorana. Ces excitations quantiques n’existent normalement pas dans la nature et doivent être provoquées dans des conditions incroyablement précises. » OK, mais le plus important dans l’histoire, faut-il le rappeler, est sans conteste le calibrage cornecul de la prise Péritel. (http://cpc.cx/AH430N2 - Crédit photo : Microsoft)
Les critiques continuent de viser Tesla et sa communication sur les systèmes de conduite Autopilot et Full Self-Driving (FSD), cette dernière option étant facturée pas moins de 12 000 USD. Les sénateurs Richard Blumenthal et Ed Markey ont ainsi adressé une lettre début février au constructeur automobile, faisant état de « préoccupations importantes » quant à la sécurité de ces systèmes et d'une potentielle mise en danger des usagers. Courrier auquel Rohan Patel, directeur général de la politique publique de Tesla, vient de répondre en expliquant que l'Autopilot et le FSD nécessitent bien une « surveillance et attention constantes » de la part du conducteur, alors qu’Elon Musk prédit une conduite autonome complète pour cette année. Pour autant, Rohan explique qu’avec un accident pour 6,94 millions de kilomètres parcourus par les Tesla en mode Autopilot, ces systèmes s’avèrent plus sûrs que la conduite humaine – un accident recensé tous les 779 000 km par la National Highway Traffic Safety Administration nord-américaine (NHTSA). (Crédit photo : Pexels - Pixabay)
Des chercheurs en sécurité anglais et italiens ont publié un rapport intitulé Alexa vs Alexa (AvA), détaillant une nouvelle méthode d’attaque des enceintes connectées Amazon Echo. Le hack recourt au haut-parleur du périphérique pour transmettre des commandes vocales via l’appairage Bluetooth avec un intelliphone compromis, permettant ensuite d’effectuer toutes les opérations autorisées par l’utilisateur : acheter en ligne, passer des appels téléphoniques, déverrouiller les portes, modifier les calendriers, etc. En clair, l’attaque consiste à utiliser Alexa pour s’auto-hacker et accéder aux données confidentielles et autres systèmes connectés du foyer, avec un taux de réussite allant de 73 à 100 %. Un résultat qui invite les chercheurs à conseiller la désactivation du microphone lorsque l’appareil n’est pas utilisé. Pour autant, Amazon considère le niveau d’attaque comme « moyen », car la stratégie ne fonctionne pas via Internet. (http://cpc.cx/AH429n5 - Crédit Photo : Alexa vs Alexa)
Lors d'un échange sur Twitter, Elon Musk a confirmé que Tesla travaillait sur le portage du catalogue Steam dans ses véhicules, plutôt que sur l'adaptation de jeux au compte-gouttes. Et ça ne rigole pas, puisqu'il est même question de faire tourner Cyberpunk dans le Cybertruck. Rappelons qu'il est déjà possible pour les passagers – et le conducteur – de jouer à quelques titres dans un Model S/X, alors même que la voiture est en mouvement. Chacun jugera de l'opportunité de la chose sur le plan de la sécurité, alors qu'auparavant, les fonctions vidéoludiques n'étaient accessibles qu'une fois la Tesla en stationnement. Un point qui a d'ailleurs interpellé la National Highway Traffic Safety Administration (NHTSA), en discussion avec Tesla sur ce sujet. Quoi qu'il en soit, Elon précise que le divertissement sera « essentiel » lorsque les véhicules seront totalement autonomes, ce qui devrait être le cas dès cette année. (Crédit Photo : Pexels / Pixabay)
Pour cette configuration trimestrielle, nous avons décidé de stocker des données. Beaucoup de données. Avec une question idiote : combien de téraoctets peut-on placer dans une tour de PC classique ? Les contraintes sont basiques : rien d'externe, tout en interne, avec du matériel qui peut se trouver en France.
Pour cette config' du trimestre, il faut remercier @anbcorp sur Twitter, qui avait proposé ce sujet il y a quelques mois pour la rubrique. L'idée est donc d'installer le plus de moniteurs possible dans une configuration qui reste assez standard. Nous ne parlons pas de trois ou quatre écrans, mais plutôt… vingt.
Cette configuration du trimestre est un peu particulière : nous vous proposons une machine sans GPU. Plus exactement, sans GPU dédié, évidemment. La raison, vous la connaissez probablement : les cartes graphiques sont introuvables.
Pour cette configuration trimestrielle, nous sommes partis sur un prérequis proposé par un lecteur sur Twitter : une config avec une bonne efficacité énergétique. Pas celle qui consomme le moins, c'est un peu trop simple, celle qui offre tout de même des performances acceptables.