Dans Blue Screen of Death, Alt236 explore nos représentations avec la passion d’un archéologue des mondes virtuels. Le jeu vidéo est un continent vierge où se jouent des aventures nouvelles et parfois étranges. Quels liens ces visions entretiennent-elles avec notre inconscient ? Pourquoi nous fascinent-elles autant ? Qu’est-ce qui fait qu’une image plutôt qu’une autre va luire dans la nuit de toute son inquiétante étrangeté ?
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Dans Blue Screen of Death, Alt236 explore nos représentations avec la passion d'un archéologue des mondes virtuels. Le jeu vidéo est un continent vierge où se jouent des aventures nouvelles et parfois étranges. Quels liens ces visions entretiennent-elles avec notre inconscient ? Pourquoi nous fascinent-elles autant ? Qu'est-ce qui fait qu'une image plutôt qu'une autre va luire dans la nuit de toute son inquiétante étrangeté ?
Pendant cinq ans, Atomic Heart est resté nimbé d’une aura de mystère. Lorsque le jeu s’est dévoilé par bribes, il a laissé apercevoir une sorte de BioShock soviétique. Sauf que la fois d’après, on pensait plutôt à un Stalker linéaire. Et puis à un Half-Life ouvert. Bref, on était largués. Jusqu’à ce que mi-janvier, un mois avant la sortie officielle, le studio Mundfish nous invite à jouer plusieurs heures à Atomic Heart pour en avoir le cœur atomique net une bonne fois pour toutes.
Depuis combien de temps on n'a pas mangé une bonne immersive sim ? Allez, on va faire comme si Prey, Deathloop et Dishonored n'étaient jamais sortis pour remonter jusqu'au temps des dinosaures, avec Deus Ex et Thief. Non pas que ça ait une quelconque logique, hein. C'est juste que j'aime bien avoir raison, surtout quand je balance des assertions sans fondement.
Des deux années secouées dans tous les sens par le Covid, 2022 sera sans aucun doute celle qui aura été la plus touchée. « Anus horribilis », comme l'aurait si bien dit Elizabeth II, ou un médecin qui voudrait vous annoncer l'apparition d’hémorroïdes dans un trait d'humour.
Sans surprise, l’année prochaine j’attends surtout un grand jeu magique, en monde ouvert, où un héros aux cheveux en bataille se bat contre les forces des ténèbres, le tout étroitement lié à des romans. Je parle bien sûr d'Alan Wake 2.
Certains veulent Noël avant l'heure, moi j'aime Noël après l'heure. On commence par se gaver de victuailles et, une fois les viscères remplis à capacité, entièrement satisfait, paf, on vous balance sur le ventre, en guise de bouquet final, une pile de cadeaux. Eh bien ce début d'année, c'est exactement ça. Sitôt passées les fêtes, au pied du sapin déjà sec et du calendrier 2023 tout neuf, on trouve tous les jeux repoussées de l'année dernière.