Et voilà, les poubelles de Steam, c'est terminé. Non pas que Valve soit subitement rentré dans le droit chemin et ait renoncé à publier chaque jour des dizaines de jeux pourris et à moitié pétés, mais vingt numéros nous ont largement suffi pour faire le tour du sujet. Alors avant que la benne à ordures ne passe pour tout enlever, asseyez-vous, que je puisse vous raconter tout ce que j'ai appris au cours de cette plongée en eaux troubles. Non, pas là, il y a une seringue pleine de malwares. Ni là, car les bords coupants de ce jeu raciste pourraient vous filer le tétanos. Bon ben restez debout, en fait.
Avec des conditions de publication qui se résument désormais à fournir un chèque de cent dollars et un exécutable qui ne plante pas au démarrage, Steam est devenu la boîte de Pandore du jeu vidéo. Une boîte que nous allons secouer tous les mois, afin d'en faire sortir les pires jeux vidéo du moment. Suivez-nous et surtout, n'oubliez pas votre combinaison Hazmat. On ne sait jamais.
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Des troupeaux de chiens faméliques qui errent au beau milieu d’un champ de ruines radioactives, une petite cahute perdue sur un parterre de coquelicots sauvages, un parc d’attractions laissé à l’abandon, un personnage qui se fait déchiqueter dans un marécage peuplé de cochons mutants : il y avait déjà de quoi trépigner face aux premières images de Stalker 2, dont la sortie a été plusieurs fois repoussée depuis le début de la guerre en Ukraine.
« Trouve-moi tout ce que tu peux sur Redfall. Tout le monde a envie de savoir si c’est Left 4 Dead avec une moustache ou Far Cry 3 avec un faux-nez. » Voilà la consigne d’Ellen Replay et voilà pourquoi c’est elle la cheffe : la capacité à identifier le problème.
Bip bip – brrrrrrrrm – tchhhhhhh – Bonjour monsieur, installez-vous ! Je suis à vous dans un instant. tchhhh – brrrrm – fshhhhh – Et voilà madame, votre cappuccino à emporter, comme convenu. Attendez – voooosh – votre fleur préférée dessinée dans le lait, pour porter chance. Et bonne journée ! - ding ding – Monsieur, c’est à nous. Vous avez choisi ?
Comme le dit probablement l'une de ces fables de La Fontaine que personne ne connaît et qui porte un nom grotesque du genre Le Coucou et l'Hippopotame : « Rien ne sert de faire beaucoup, il convient de faire bien. » Ainsi d'Edmund McMillen qui, en une poignée de jeux, dont un en Flash et un spin-off, a su s'imposer, à tel point que chacun de ses projets est désormais un événement, même lorsque ledit projet est complètement perché.
Pendant cinq ans, Atomic Heart est resté nimbé d’une aura de mystère. Lorsque le jeu s’est dévoilé par bribes, il a laissé apercevoir une sorte de BioShock soviétique. Sauf que la fois d’après, on pensait plutôt à un Stalker linéaire. Et puis à un Half-Life ouvert. Bref, on était largués. Jusqu’à ce que mi-janvier, un mois avant la sortie officielle, le studio Mundfish nous invite à jouer plusieurs heures à Atomic Heart pour en avoir le cœur atomique net une bonne fois pour toutes.