DenisDenis

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Bonjour tristesse (1954)

Il y a des classiques qui se prêtent à des ambiances travaillées.
Pour ce court roman, il est de bon ton de le lire en été, sous les pins et de préférence avec la peau salée du bain de l’après-midi. Si en plus vous ajoutez un fond de jazz (Art Blakey and the Jazz Messenger par exemple) et un verre de votre altérant favori, vous serez bien garés [NDLR : fonctionne également si vous êtes au café de la poste à Montargis].

Fleming, l’homme qui voulait être James Bond

« Tout ce que j’écris possède un fond de vérité », nous rappelle Ian Fleming en ouverture.

1952, extérieur jour : l'eau turquoise de la baie de Oracabessa plonge le spectateur dans un exotisme insouciant. Je n’ai jamais mis les pieds en Jamaïque et vécu plus de 50 ans sans savoir ce qu’avait fait Ian Fleming avant de créer James Bond. « Mais qu’est-ce qu’on s’en bat les sticks ? », allez-vous me dire. Oui, mais. Même s'il est (très ?) romancé dans la série, le parcours de l’écrivain pendant la Seconde Guerre mondiale est riche, cocasse, trépidant et complètement barré. Pas le temps de sécher votre paréo – on était à la plage, suivez un peu – qu’un flashback nous ramène en 1938, quand l'Angleterre n'était pas encore en guerre et où Ian, jeune trader sans ambition, menait une vie de playboy dissolu, aux crochets de sa famille. Porté par des épisodes rythmés, le spectateur que nous sommes découvre alors les nombreuses similitudes entre l’auteur et 007, au point même parfois d'oublier l'agent secret au profit de son créateur à la vie finalement bien colorée. À regarder au shaker, pas à la cuillère.

Les potes au feu - Sex-toys - Canard PC Hardware 40

Comme me disait ma Grand-mère : « Qui aime la nappe, aime le drap. » Alors quand on nous a ordonné proposé de tester des sex-toys interconnectés (les kiiroo Onyx 2 et Pearl 2, vus dans les tests), Princesse Leia Orgasma et moi-même avons opté de vous en parler sous l’angle de la table.

DenisDenis - Canard PC Hardware 40

Ce mercredi de 2012, il faisait froid et comme tous les ans, j’avais pas eu la fève. Malgré tout, j’étais d’humeur badine, en plus l’année commençait par un jour férié, et ça c’est cool.

Une série documentaire de dix épisodes
Formula 1 – Drive to survive