C’est sans doute l’un de mes plus grands regrets de ce numéro : je n’ai pas pu mettre la main sur un exemplaire, même un proto, de Vampire la Mascarade : Vendetta. Et c’est vraiment dommage, parce que sur le papier, il y a tout ce qu’il faut de vilenie pour me faire baver du sang comme un teckel vampirisé.
Bien que je doute de la présence d’esprits chagrins dans le lectorat top-moumoute de Canard PC, je ne peux m’empêcher de voir venir un retour de tromblon de la part de bien-pensants qui verraient, dans cette chronique, une faute de mauvais goût, au regard de l’actualité médicale dramatique qui nous a bien pourri l’existence ces derniers mois. Mais vous savez quoi ? Je m’en fous. Parce que je suis un entrepreneur moi, et j’aime me faire un pognon de dingues sur le dos des patients.