J’ai un problème avec Eclipse. J’adore ce jeu, il fait partie des inamovibles de ma ludothèque, et pourtant, allez savoir pourquoi, j’ai toutes les peines du monde à le sortir le temps d’une soirée. Peut-être parce que les trois bonnes heures (au moins) qu’il demande intimident mes coreligionnaires ludiques. Peut-être parce qu’il y a toujours une autre nouveauté moins neurophage. Allez savoir. Du coup, ce papier m’a donné une bonne excuse pour le dépoussiérer un brin, et pourquoi pas, vous donner envie de craquer aussi.
C’est sans doute l’un de mes plus grands regrets de ce numéro : je n’ai pas pu mettre la main sur un exemplaire, même un proto, de Vampire la Mascarade : Vendetta. Et c’est vraiment dommage, parce que sur le papier, il y a tout ce qu’il faut de vilenie pour me faire baver du sang comme un teckel vampirisé.
Bien que je doute de la présence d’esprits chagrins dans le lectorat top-moumoute de Canard PC, je ne peux m’empêcher de voir venir un retour de tromblon de la part de bien-pensants qui verraient, dans cette chronique, une faute de mauvais goût, au regard de l’actualité médicale dramatique qui nous a bien pourri l’existence ces derniers mois. Mais vous savez quoi ? Je m’en fous. Parce que je suis un entrepreneur moi, et j’aime me faire un pognon de dingues sur le dos des patients.