Sous les projos : Black Reliquary pour Darkest Dungeon. D’ordinaire, ici on ne s’intéresse pas trop aux mises à jour de mods. Mais Black Reliquary, un énorme mod pour le premier Darkest Dungeon, vient d’arriver très officiellement en accès anticipé – c’est l’un des rares mods à avoir droit à sa propre page sur la boutique Steam – et il serait criminel de ne pas vous en parler.
Sous les projos (Le Thermomètre DLC) : Rain World. En 2017, le monde s’est jeté sur Rain World et son adorable chat-loutre, avant de se rendre compte que ce n’était pas un Super Meat Boy mignon mais un irritant jeu de plateforme à la difficulté absurde. Un groupe de moddeurs a trimé cinq ans pour lui donner une extension qui gomme ces défauts et multiplie sa durée de vie par dix.
Sous les projos : (En Chantier) Darkest Dungeon 2. Les mises à jour étant plus rares ce mois-ci (car les développeurs sont occupés à cuver après les fêtes), j’ai voulu faire un tour du côté de jeux dont on ne parle pas souvent dans ces pages afin de voir comment ils évoluent. Commençons par aller fureter du côté de Darkest Dungeon 2.
Sous les projos : The Witcher 3. Comment ? Une mise à jour pour remettre à neuf les graphismes de The Witcher 3 ? Mais je ne comprends pas, le jeu est sorti il y a quoi… quatre ans ? Non ? Rho… allez, ça ne fait quand même pas cinq ans ?
Sous les projos : (Le Thermomètre DLC) Humankind. Le 9 novembre, l’excellent 4X historique d’Amplitude a vu arriver sa première extension, Together We Rule. Au programme : de nouvelles cultures, des mécaniques tournées vers la diplomatie et des joueurs pas contents car le jeu n’est toujours pas un Civilization. On ne les changera pas, que voulez-vous.
(Le Thermomètre DLC) Sous les projos : Rimworld. Après une extension dédiée aux croyances et une autre rajoutant une puissante faction impériale, l’increvable jeu de gestion de colonie voit arriver un nouveau DLC, cette fois sur la reproduction et les implants.
Sous les projos : Foxhole. Lorsque vous lirez ces lignes, Foxhole sera enfin sorti en version 1.0 après cinq ans d’accès anticipé. Comme je trouve que ce jeu n’a pas le dixième du succès qu’il mérite, et qu’on ne pourra sans doute pas immerger quelqu’un deux semaines dedans pour produire un test, prenons le temps de nous pencher un peu sur son cas dans cette Caravane.
Sous les projos : (Le Thermomètre DLC) Crypt of the Necrodancer (encore). Je sais, j’ai déjà parlé de Crypt of the Necrodancer dans la Caravane du mois dernier. Mais depuis, galvanisés par mon article (le boss du studio a tweeté « Who is this Izual mofo from the Patch Caravan of Duck Computer??? »), Brace Yourself Games s’est fendu d’un DLC surprise pour son excellent jeu musical.
Sous les projos : Crypt of the Necrodancer. Cinq ans après sa dernière mise à jour, l’extraordinaire roguelite musical de Brace Yourself Games (qui depuis bosse sur Phantom Brigade et Industries of Titan) a reçu un gros patch. Un excellent prétexte pour conseiller une nouvelle fois à tout le monde cette merveille.
Sous les projos : (En Chantier) Infraspace. En novembre dernier, ackboo vous parlait avec emphase de ce city-builder futuriste, auquel la gestion épineuse du trafic routier apporte une couche de complexité bienvenue. Depuis, Infraspace a eu droit à plusieurs mises à jour ambitieuses, qui le propulsent pas loin du panthéon des jeux de gestion.
C’est mon premier article pour Canard PC, alors je préfère être franche : je n’aime pas les jeux vidéo. C’est-à-dire qu’on me rétorque souvent que je n’aime pas les vrais jeux. Adolescente, j'ai passé beaucoup trop d’heures sur Les Sims ou Prizee, en espérant désespérément gagner cette foutue peluche en forme de poisson. Je ne me considérais pas comme joueuse pour autant.
Tout le monde, sur Internet, se tenait prêt. Dans quelques heures, à l'ouverture de la bêta de Diablo IV, retentirait le plus grand ouin-ouin de l'Histoire. Certains seraient déçus que le jeu ne ressemble pas à Diablo II, d'autres à Diablo III ou encore à Path of Exile. Mais tous seraient d'accord sur un point : c'était mieux avant. Or, comme le bug de l'an 2000, le grand ouin-ouin n'a pas eu lieu. Les joueurs de Diablo IV, incroyable mais vrai, semblaient contents.
Il paraît que c’est l’apanage des bons jeux : le pitch tient sur un Post-it. « Une jeune fille et son fidèle ami se lancent dans une mission de sauvetage à travers un monde coloré plein de machines froides et de créatures inconnues » : ce qui est certain, c’est que Planet of Lana ne réinventera pas le fil à couper l’eau tiède.
Pendant qu’on se lamente du déclin des jeux d’infiltration et du coma de Deus Ex, un Californien tout seul développe un simulateur de missions d’infiltration cyberpunk, sans même se soucier de nous prévenir. Un e-mail incendiaire de notre part et une implacable demande d’interview portée par huissier l’ont vite remis dans le droit chemin.
Des troupeaux de chiens faméliques qui errent au beau milieu d’un champ de ruines radioactives, une petite cahute perdue sur un parterre de coquelicots sauvages, un parc d’attractions laissé à l’abandon, un personnage qui se fait déchiqueter dans un marécage peuplé de cochons mutants : il y avait déjà de quoi trépigner face aux premières images de Stalker 2, dont la sortie a été plusieurs fois repoussée depuis le début de la guerre en Ukraine.