Souvent, je regarde ma bibliothèque de JDR, ses planches qui courbent sous le poids des univers entassés, et je me dis que là, j’arrête, j’ai tout ce qu’il faut sauf trois heures de plus par jour. Et puis, sans transition, je me retrouve sur un salon à caresser une couverture, puis alpaguée par un créateur qui veut m’expliquer pourquoi son jeu est unique.