
Un an de chroniques et quelques ratés
Je dois le confesser, la nature de ces chroniques n’est pas très définie. Tantôt points de vue ou coups de gueule, tantôt analyses de l’industrie du jeu vidéo et de ses perspectives, elles sont naturellement susceptibles d’être contestées, ne serait-ce que – parfois cruellement – par la suite des événements. Il y a deux ans, j’ai donc décidé de me livrer une fois par an à une revue (éventuellement critique) des « Au coin du jeu » de l’année écoulée, et c’est au tour de celles de l’année 2018. A priori, j’ai dit moins de bêtises cette année (les mauvaises langues diront que c’est uniquement parce que j’en ai moins publié, suite à notre passage au mensuel…).
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Canard PC
Jeu Vidéo
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Retour vers le passé - Remakes, adaptations, suites : quand les éditeurs misent sur la nostalgie des joueurs
J’avais six ans quand j’ai joué à Day of the Tentacle pour la première fois avec mon grand frère : dans ma tête, j’avais l’impression d’avoir ouvert une porte sur un monde merveilleux fait de voyages temporels, de blagues légères et de personnages burlesques. Dans les faits, mon frère a surtout passé des heures à m’expliquer la logique tarabiscotée des énigmes, et c’est pourquoi il faut quand même se méfier de ses propres souvenirs et de la nostalgie de l’enfance – d’autant plus quand des éditeurs capitalisent dessus.