Je l'entendais encore hier dans notre immeuble grouillant de startuppeurs : sans network pour fédérer les players grâce à une digital strategy, un jeu risque de se vautrer. Pour le dire autrement, comme me l'expliquait un ami philosophe, « de nos jours, il faut que la moindre crotte de pigeon sur le trottoir ait une communauté ». La plupart des jeux se contentent de créer un forum et un compte Twitter faussement enjoué, mais certains, comme SOS, essaient de pousser le concept de communauté encore plus loin. Jusqu'à lui donner une influence primordiale sur le déroulement de chaque partie.