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Tour du périph
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Le tour du gadget

Par Fishbone | le 8 juin 2018

C49J89 (Samsung) C49J89 (Samsung)
Powerbutton (Alphacool) Powerbutton (Alphacool)

VCS (Atari) Le joueur étant nostalgique par nature, rien de surprenant à ce que les resucées de machines d’un autre siècle foisonnent. Et si, parmi tout ce beau monde, il en existe une qui peut prétendre au titre de console mythique, c’est bien la VCS d’Atari – ou 2599. Fort logiquement, Atari a donc ouvert les précommandes pour une VCS nouvelle génération, financée sur Indiegogo qui, avec près de 2,5 millions de dollars engrangés pour 100 000 demandés, prouve à quel point l’engouement pour le pixel à papa reste vivace. En plus d’une centaine de jeux appartenant aux classiques, la machine donnera accès à des titres indépendants et autres applications comme Netflix. Motorisée par Linux (Ubuntu), la VCS intègre un AMD Bristol Bridge A10 et une Radeon R7, accompagnés de 4 Go de mémoire DDR4, de 32 Go de stockage sur SD, du Wi-Fi 2,4/5 GHz, du Bluetooth 5.0, de quatre ports USB 3.0, du HDMI 2.0 et d’un port Ethernet. Deux types de contrôleurs sont proposés en option, un classique (29 dollars) et un moderne (49 dollars). Quant à savoir si les prix sont justifiés pour un simple appeau à geeks, techniquement banal et dont les jeux piqueront les yeux, la communauté a tranché.

Le site officiel – prix : 170 euros (Onyx) / 255 euros (Collector’s Edition) – date de sortie : juillet 2019

C49J89 (Samsung) En temps normal, nous ne parlons pas de moniteurs, claviers mécaniques et autres périphériques lambda dans cette rubrique, mais nous allons faire une exception. D’un, parce que c’est ackboo qui m’a filé le lien et que je ne peux rien lui refuser, rapport à la relation père-fils spirituels qui nous unit. De deux, parce que les dimensions de ce moniteur sont tellement improbables qu’il constitue un parfait objet de geekerie (même si l’appareil vise en premier lieu les professionnels). De trois, rien. De quatre, pas mieux. Ce 49 pouces incurvé (1800R) propose ainsi un impressionnant ratio de 32:9, ce qui, pour vous faire une idée, correspond à deux écrans 27 pouces, offrant du 3840 × 1080 DFHD (Double Full High Definition). L’avantage du C49J89 comparé à sa version pour joueur, le C49HG90, c’est évidemment le prix, bien moindre. D’autant plus que la fréquence de 144 Hz est conservée, a contrario du Freesync et du HDR, certes. De même, le temps de réponse gris à gris est porté à 5 ms et la luminosité à 300 cd/m2, contre 1 ms et 650 cd/m2 (max) pour le C49HG90. Le contraste enfin, 1000:1. Malgré ces limitations, il fera assurément l’affaire pour jouer en 1080p, et dans les grandes largeurs qui plus est.  

Le site officiel – prix : 1080 euros

Cormorant (Tactical Robotics) Cormorant (Tactical Robotics)
Ovis (ForwardX Robotics) Ovis (ForwardX Robotics)

Powerbutton (Alphacool) Preuve que la vie nous réserve toujours des surprises, me voici à parler d’un bouton d’alimentation… Car dans l’absolu, le Powerbutton d’Alphacool (société que l’on connaît plutôt pour ses solutions de refroidissement liquide) ne fait rien de plus que le bouton de votre tour. Sa seule particularité est d’être relié à un câble de deux mètres permettant d’allumer le PC depuis le bureau sans devoir se pencher si la tour est au sol ou s’étirer si le PC est accroché un mur. Reste évidemment le cas de figure, plus défendable d’un point de vue conceptuel, où le bouton d’origine a rendu l’âme, vous forçant à redémarrer la bête au tournevis, en touchant au hasard les pins de la carte mère (sinon ce n’est pas drôle). Contrairement aux solutions que l’on trouve généralement ailleurs pour moins cher, le Powerbutton est fabriqué en aluminium. Une LED rouge est également présente, parce qu’à ce prix, impossible de se passer d’une loupiote pour séduire les utilisateurs en mal de dépenses inutiles, mais indispensables. Existe en noir ou gris.

Le site officiel – Prix : 30 euros

Cormorant (Tactical Robotics) Encore un drone qui m’oblige à renier mon aversion naturelle pour ces engins. En effet, à l’instar d’autres initiatives recourant à ces nuisibles pour aider concrètement la population (la délivrance de médicaments dans les lieux reculés, par exemple), le Cormorant est destiné à sauver des vies, en sa qualité d’ambulance aérienne. À l’image d’un coléoptère fukushimanien, voire d’un hélicoptère (plus petit), le drone décolle et atterrit à la verticale afin de prendre en charge deux blessés simultanément. L’appareil est contrôlé à distance jusqu’à 32 kilomètres et une caméra permet à un médecin de surveiller l’état des personnes (cela leur fait une belle jambe, pour autant qu’elle soit encore présente). Fabriqué en fibre de carbone, le drone file à une vitesse de 160 km/h et dispose d’une faible signature radar. Car voilà, pour l’heure le Cormorant est un drone militaire chargé d’œuvrer en zone de combat. Gageons que des versions civiles ne manqueront pas d’être commercialisées à l’avenir.

Le site officiel

Smarterware (Ovie) Smarterware (Ovie)

Ovis (ForwardX Robotics) La valise connectée, désolé, mais si vous êtes un ouineur, un vrai, c’est dépassé. Non, ce qu’il vous faut en tant que ouineur, c’est un bagage équipé d’un réseau neuronal, capable de rouler à vos côtés pendant que vous humiliez les gueux qui attendent dans la file économie pour enregistrer leurs loques à l’aéroport. Alors que vous, évidemment, vous voyagez en classe affaire pour ouineur, parce que vous êtes un ouineur de première, bordel. Afin de remplir sa fonction de sherpa à roulettes pour ouineur, Ovis est équipé d’un Qualcomm Snapdragon 835 « like » (ne m’en demandez pas plus), qui est chargé d’effectuer les calculs pour suivre à la trace le ouineur et éviter les obstacles. Une fonction d’alarme et de géolocalisation est intégrée pour éviter d’égarer Ovis, au cas où une batterie à plat l’empêcherait de suivre son ouineur et maître. Le bagage est approuvé par la Transportation Security Administration nord-américaine et la batterie est extractible pour passer les scanners sans finir en tôle pour activité terroriste. Enfin, autre fonctionnalité de ouineur, la valise se pèse toute seule, le poids étant indiquée via l’app. L’autonomie est de 20 km pour une vitesse de 10 km/h, ce qui tombe bien, car un ouineur ne marche jamais à moins de 10 km/h, et sans suinter du slip.  

Le site officiel – prix : à partir de 275 euros – date de sortie : décembre 2018

Smarterware (Ovie) Parce que certains ne sont plus foutus de s'occuper du contenu du frigo sans une application pour assister leur cerveau de feignasse, Smarterware se targue d’être le premier système de conservation de nourriture connecté. En gros, il s'agit d'un « contenant alimentaire en plastique à couvercle hermétique » (pour reprendre la définition d’un produit ménager populaire) qui va communiquer avec le smartphone de l’utilisateur pour le tenir informé de ce qui se trame dans son réfrigérateur : le type de nourriture stockée (grâce à l’assistant Alexa) et, surtout, depuis quand elle y traîne. L’ambition d’Ovie est de lutter contre le gâchis alimentaire, le constructeur citant une étude selon laquelle 40 % de la nourriture du pays n’est jamais consommée (terme policé pour dire jetée à la benne), alors qu’« un Américain sur huit a des difficultés à se nourrir ». Pas certain que le fait de ne pas gâcher des steaks de vache aux hormones améliorera forcément le sort de ces nécessiteux, mais passons, je ne voudrais pas casser l’ambiance génération Y en entamant un débat au ton désagréable sur les injustices de ce monde. Quoi qu’il en soit la campagne Kickstarter est financée, vous n’aurez plus d’excuse si d’aventure des organismes aliens venaient à se reproduire dans de vieux restes de tofu au lard.

Le site officiel – prix : 70 dollars (Earlybird) – date de sortie : février 2019

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Fishbone

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le 8 juin 2018
publié dans le n°383 - juin 2018

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le 8 juin 2018
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