À l’été 2015, il y avait 80 jeux classés « city-builders » sur Steam. Aujourd’hui, la même catégorie en compte plus de 900, DLC compris. L'un des nombreux signes qu'en six ans, les jeux de gestion de ville sont passés du statut de niche moribonde à celui de filon juteux pour les studios indés et même certains grands éditeurs. Mais le plomb s’est-il réellement transformé en or, ou bien s’agit-il d’un mirage qui va laisser beaucoup de développeurs sur le carreau ?