Si la souris est quasi indispensable à un ordinateur, le clavier est l’interface essentielle à son bon fonctionnement. Lointain héritier de la machine à écrire, il est devenu massif, minuscule ou virtuel, mais il a toujours été un clavier. Mais ça, c’était avant que la technologie et divers esprits plus ou moins géniaux décident d’en faire autre chose.
Souvenez-vous, avant Deezer, Apple Music ou Spotify, la musique était distribuée sur des médias physiques, des cassettes audio (dont le créateur est décédé récemment), des disques vinyles, des CD, etc. Et dans les années 1980 et 90 (et même 2000, pour le côté rétro), certains dissimulaient des choses sur les médias en question. Nous n'allons pas parler des pistes cachées (un sujet qui nécessiterait son propre dossier) et des différentes méthodes utilisées, ni des « CD Plus », c'est-à-dire les CD qui contenaient des pistes de données. Non, nous allons discuter d'une technique bien plus artisanale : des pistes audio qui intègrent des données. Si vous avez côtoyé les ordinateurs des années 1980, vous connaissez le principe : les informations sont modulées (à la manière d'un antique modem) et le « micro » – relié généralement à un lecteur de cassettes – démodule le tout pour récupérer les données. Une solution peu efficace dans l'absolu, mais qui permet de stocker quelques kilooctets sur des médias peu onéreux. Passons à quelques exemples.
Périphérique quasi indispensable de tout ordinateur qui se respecte depuis les années 1980, la souris a quelque peu évolué depuis sa conception, mais a toujours conservé la plupart de ses attributs de base. Cela n’a pas empêché certains constructeurs de tenter de réinventer la roue avec des modèles hors du commun, ou tout simplement d’essayer de se distinguer avec des pointeurs d’un goût particulièrement douteux.
En général, lorsque nous vous parlons de GPU, nous détaillons surtout la carte elle-même, la configuration de sa puce, la vitesse de sa mémoire vidéo, sa consommation, ses performances et éventuellement son design. Mais il y a un aspect que nous vous montrons rarement, c’est son emballage – le packaging, comme disent les pros.
Depuis que Microsoft et Intel règnent (plus ou moins) en maître sur le marché des PC, un nom revient fréquemment : Wintel. Et assez régulièrement, des constructeurs ou développeurs annoncent la mort du couple Wintel, soit à cause d'un processeur révolutionnaire, soit parce qu'un OS débarque et qu'il va évidemment remplacer Windows dans le cœur des utilisateurs. Et parfois… on a même les deux : un nouvel OS sur un nouveau type de CPU.
Que ce soit sur PC, sur console ou même en arcade, les éditeurs de jeux et les fabricants des systèmes qui les accueillent ont toujours eu affaire au piratage. Avec le temps, le jeu vidéo est devenu le terrain d’un affrontement très particulier entre les développeurs et les crackers (les programmeurs amateurs qui copient les jeux, pas les biscuits anglais).
L’écran fait partie des éléments que l’on change le moins souvent dans une config’. Généralement, un bon moniteur vous suivra pendant des années, et vous ne le remplacerez que lorsqu’il tombera en panne, contrairement à une carte graphique qui doit être changée quand ses performances ne sont plus à la hauteur.
Lors de nos recherches pour le magazine, nous tombons assez régulièrement sur des câbles et des adaptateurs improbables. Nous avons donc décidé de vous proposer un petit florilège de nos rencontres impromptues. Vous verrez des objets que vous utilisez peut-être, d'autres dont vous n'imaginiez sûrement même pas l'existence et quelques produits que vous pourriez trouver sur un site de vente mais qui pourtant ne fonctionnent absolument pas.
Quand on pense rentrée, on a vite fait de penser aussi vie étudiante, campus, résidence universitaire, toutes ces belles choses qui font la vie d’une jeunesse. Jeunesse qui se demande aussi si elle pourrait se débrouiller pour mettre dans sa chambre une petite machine de jeu vraiment pas chère pour s’occuper un peu quand elle sèche les amphis entre deux révisions studieuses. Tiens, et si on se réessayait à un exercice autrefois régulier dans ces pages, à savoir la config de jeu pour budget riquiqui ?
Comme le trimestre dernier, nous souhaitons vous proposer une config qui ne jurera pas au sein de votre intérieur. Mais plutôt que de miser sur le design, nous jouons cette fois la carte de la discrétion. Cette machine, à qui nous donnons le petit nom de Doc Aedeser, cible le jeu en 4K à des températures correctes, le tout dans un boîtier compact.
Histoire d'appuyer le propos de notre dossier sur la question du RGB, qui consiste à dire que l'élégance, ça peut aussi (et même surtout) se façonner sans loupiotes multicolores, notre config du trimestre est une machine assez haut de gamme qui s'adresse aussi bien au gamer avide de performances qu'à l'amateur de belles choses.
Vous vous en souvenez peut-être, nous avions déjà proposé une configuration à (très) bas prix en avril 2020. Cette config’ valait 300 € et visait vraiment un public à la recherche d’un PC pas cher. Cette fois, nous ciblons l’entrée de gamme pour les joueurs.
Dans la majorité de nos configurations, nous partons avec un point implicite : vous allez installer Windows, ou éventuellement une distribution GNU/Linux. Mais si vous voulez profiter de macOS et fabriquer un hackintosh, il y a quelques sujets importants à prendre en compte.