Faire un jeu de polar, c’est la plaie. Il faut que les joueurs soient perdus… mais pas trop. Qu’ils comprennent… mais pas tout ! Pire qu’un bouquin, car le twist improbable de fin est interdit. Un enfer d’équilibre pour les scénaristes.
Faire un jeu de polar, c’est la plaie. Il faut que les joueurs soient perdus… mais pas trop. Qu’ils comprennent… mais pas tout ! Pire qu’un bouquin, car le twist improbable de fin est interdit. Un enfer d’équilibre pour les scénaristes.
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