
Maléfices | Quand le métro sentait encore la...
Citez-moi un jeu de rôle français présent sur la rôlistosphère depuis les années 1980… Pas si simple. En vrai, la plupart des titres qui envahissent nos tables depuis 20-30 ans sont américains, pourtant dans cette jungle de titres ricains subsiste un JDR gaulois qui traîne ses guêtres depuis 1982 : Maléfices. Après plusieurs années dans des limbes éditoriales, « Le jeu de rôle qui sent le souffre » revient faire tourner les guéridons…
Maléfices
Créateurs : Dominique Chanavas, Michel Fagherazzi, Christophe Genoud, Jean-Philippe Palanchini, Sanne StijveIllustrateurs : collectif
Éditeur : Arkhane Asylum Publishing
Nombre de joueurs : 3 à 6
Complexité : accessible
Prix : 45 € le livre de base
Disponibilité : décembre 2022
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus de la même catégorie

L’Insurrection - La révolution des feuillets
Le premier contact avec L’Insurrection, ce sont ses illustrations démentes, photos retravaillées, superposées, tout en noir et feu. L’ambiance est directement posée : il s’agit de raconter comment éclatent les révoltes, avec le choix d’un cadre historique, contemporain, ou complètement fantaisiste.

Aventures à plumes - Un coin c'est tout
Aventures à plumes ne nous fait pas seulement jouer des canards : tous les volatiles y sont les bienvenus, jusqu’à un invité ornithorynque. L’inspiration La Bande à Picsou transpire cependant de chaque page. Tant mieux ! C’est parti pour du pulp bon enfant.