
Les nouveaux avocats de Quantic Dream
Le 15 janvier 2018, Médiapart et Canard PC entamaient la publication d’une série d’articles portant sur les conditions de travail dans l’industrie du jeu vidéo. Deux ans après, les deux articles qui concernent le studio Quantic Dream font l’objet d’attaques en règle de la part de médias qui semblent plus intéressés par la communication dudit studio que par les faits ou témoignages publiés.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

The A.R.T. Project - Se coordonner d’art d’art
On ne peut pas jouer à tout, du coup j’ai une règle de vie qui s’applique aux coop' : si je gagne la première partie, c’est fini. Règle que je n’ai pas appliquée à The A.R.T. Project pour deux raisons : 1) cette première partie a été remportée sur le fil du rasoir, à un poil de pinceau pourrait-on dire (histoire d’être plus thématique et plus élégante que si je faisais référence à ce qui entoure nos coccyx) ; 2) faire plusieurs parties des jeux pour vous en parler, c’est mon boulot, en fait.

Le grand retour des échecs - Comment les jeunes générations se sont prises d’affection pour le noir et blanc
Je me souviendrai toute ma vie du visage de M. Mouton, mon prof d’histoire de cinquième, lorsque j’ai refusé de m’inscrire à son club d’échecs. Un homme brisé, à la mine déconfite, voyant le peu d’espoir qu’il avait en moi s’évaporer en un instant. À cet âge-là, je pensais avoir mieux à faire de mes dix doigts pendant la pause déjeuner. Eh bien aujourd’hui, bientôt vingt ans plus tard, je tiens à sincèrement m’excuser auprès de M. Mouton. J’aurais dû rejoindre le club d’échecs.