
Spartacus ne fait pas la révolution
Depuis quelques mois, la presse de jeux vidéo bruissait d’une rumeur : avec le « Projet Spartacus », Sony se préparait à concurrencer l’offre d’abonnement Xbox GamePass de Microsoft, sans que l’on sache vraiment quelle forme prendrait cette riposte. On sait désormais qu’il n’en est rien.
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Swamp Thing
« Mais il est complètement con, il a déjà parlé de Swamp Thing dans Canard PC il y a quelques mois. » Alors, premièrement bonjour. Deuxièmement, oui. Troisièmement : certes, mais j'ai parlé du Swamp Thing d'Alan Moore qui reprend la série créée par Len Wein et Bernie Wrightson. Et justement, c'est de cette première partie dont je veux parler maintenant, parce qu'elle est tout aussi fabuleuse. Je ne le savais pas, mais Bernie Wrightson est un monument du dessin, le genre d'artiste vaguement connu des non-initiés, mais dont tous ceux qui se sont frottés par la suite à une histoire d'horreur disent qu'il a tout inventé : les ombres, le cadrage, la mise en page. Bref, filez lire le début de Swamp Thing, continuez avec la série d'Alan Moore, finissez-vous sur Sandman de Neil Gaiman et, au passage, faites un petit détour par « Le Culte », une série de Batman, toujours par Wrightson.
Crédit image : Bernie Wrightson

Sylve - Cours forêt, cours !
Sylve a tout du petit animal mignon. Il est coloré, sa boîte crache des cœurs fourrés aux arcs-en-ciel, ses cartes ont un faux air de Pokémon. Sylve vous invite à le caresser, l’œil brillant et la langue pendante. Ensuite, comme tous les petits animaux mignons, il vous mord au sang.
Plus de la même catégorie

Le jeu vidéo contre la Russie
Suite à l’émoi international suscité par la guerre déclenchée par la Russie en Ukraine le 24 février 2022, les pays occidentaux ont mis en place des sanctions économiques et financières exceptionnelles contre l’agresseur. Certains acteurs de l’industrie du jeu vidéo ont également été contraints de réagir.

Peut-il n'en rester qu'un ?
En à peine un mois, la montagne certes imposante mais tranquille de l’industrie du jeu vidéo s’est transformée en volcan furieux crachant des coulées brûlantes de miyards. Take Two a dégainé le premier en achetant Zynga pour 12,7 milliards de dollars le 10 janvier, établissant un record dans cette industrie. Record vite éclipsé huit jours plus tard lorsque Microsoft annonça le rachat d'Activision Blizzard pour 68,7 milliards. Puis ce fut le tour de Sony, qui va récupérer Bungie pour 3,6 milliards.