Sous leurs airs innocents, les premiers jeux vidéo traitaient tous de sujets graves, des peurs profondes de l’humanité. Peur de l’apocalypse nucléaire dans Missile Command, peur de l’invasion dans Space Invaders, peur de la mort avec Pac-Man et ses fantômes. Fidèle à cette tradition, Windowkill, héritier du vénérable Asteroids, a pour sujet l’une des pires craintes de l'humain moderne : avoir un bureau Windows avec des fenêtres en bordel.