
En attendant Diablo | Ou pourquoi l'industrie du jeu vidéo n'a pas besoin des jeux
En juin dernier, une certaine Stacey Henley écrivait sur le site TheGamer que Diablo 4 lui avait fait redécouvrir la joie enfantine du jeu vidéo, le plaisir de lancer une partie, de s'amuser immédiatement, sans fioritures ni prise de tête. Le jeu à l'état pur. Trois mois plus tard, je dois lui donner raison : Diablo 4 est un précipité de jeu vidéo et un résumé de ce qu'est son industrie. Ce qui n'est pas forcément un compliment.
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