« Lovecraft est LE maître de l’horreur, considéré comme une référence par de nombreux fans », nous apprend la brochure distribuée aux journalistes venus voir The Sinking City. Phrase prodigieuse, à la fois complètement crétine (bien sûr que les fans d’un type le considèrent comme une référence, c’est la définition même du fan. Vous imaginez une brochure qui dirait « auteur considéré comme particulièrement médiocre par la plupart de ses fans » ?) et révélatrice de la relation perverse que les inconditionnels de Lovecraft entretiennent avec le déconneur de Providence.