C'était en 2012 et tout avait mal commencé. Déjà, on venait d'apprendre que Command & Conquer: Generals 2, qu'Electronic Arts avait annoncé à la fin de l'année précédente, s'appellerait finalement Command & Conquer tout court et serait un free-to-play. Et comme si ça ne suffisait pas, il y avait une faute d'orthographe à mon nom sur mon billet pour Los Angeles, où je devais aller découvrir le jeu. Non content de voir un jeu probablement moisi, j'étais bon pour me faire fouiller au corps par un douanier américain. Mais cette fois-là comme souvent, je m'inquiétais pour rien.