J'avais bien aimé Surgeon Simulator. Le jeu était original, absurde et – sans doute sa plus grande qualité – sorti avant que « simulateur physique pété » ne devienne un genre pénible et répétitif. Mais bon, quand je dis « j'avais aimé », c'est avec la moue polie et la bienveillance minimale qu'on associe à des phrases comme « Lui ? Oui, il est sympa » ou bien « Une partie de jeu de plateau ? Ma foi, pourquoi pas ». Car Surgeon Simulator 2 restait ce qu'il est convenu d'appeler un petit jeu. Ce qui n'est pas du tout le cas de sa suite.