Créateurs : Jo Kelly, Cole Wehrle
Illustratrice : Rachel Ford
Éditeur : Wehrlegig
Nombre de joueurs : 1 à 5
Nombre de joueurs optimal : 3 à 5
Durée : 1 à 2 heures
Complexité : modérée
Surface de jeu recommandée : table de salon
Prix : 75 €, en VO seulement
| Modifié le le 2 décembre 2025
Si on m’avait dit que j’allais lancer des dés, d’un rose nacré douteux, en plus, pour déplacer mon pion du nombre de cases indiquées et faire l’action d’où on tombe… Je n’ai pas moins de préjugés qu’un autre : j’aurais crié au jeu de l’oie et snobé la boîte. Et dans ce scénario, l’oie, c’est moi. Heureusement, ce n’est pas sous cet angle que Molly House s’est présenté, et depuis j’ai envie de le montrer à tout le monde.
La fête s’arrête quand la Société s’en mêle.
La fête à la maison
L’action principale, c’est l’organisation d’une fête. On pose des cartes à tour de rôle, plus deux de la pioche, et on vérifie si on a réalisé une des combinaisons qui permettent que la rencontre soit réussie. Plus la soirée est belle, plus la personne qui l’a lancée, mais aussi la collectivité gagnent de la joie ; toutes les cartes qui ont participé à la combinaison en rapportent aussi à leur propriétaire. Il faut donc évaluer si l’on veut plutôt aider ou tenter de faire échouer la fête au détriment du collectif, voire poser des cartes qui rejoindront la pile de ragots et mettront en danger les maisons. Plus on a participé aux fêtes, plus on est connu dans la maison en question, et plus on est en danger quand la Société de réformation des mœurs (une version de la Manif pour tous sans carré Hermès) s’en mêle.