Djezousse

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Maîtriser ses dégradés : théorie et pratique - Pour qui sonne le glacis

On en parle régulièrement dans cette rubrique : maîtriser ses dégradés, c’est souvent la différence entre une peinture correcte et une figurine que l'on a envie d'exposer avec fierté. Parfois délaissé ou mal utilisé, le dégradé est une méthode qui n’a pourtant rien de sorcier, pour peu qu'on sache comment s’y prendre.

Méthodologie et économies - Un pinceau pour une pince

Quand on parle peinture sur figurine, économiser constitue autant une question de gestion de ses investissements matériels que de méthodologie de travail. Mais comment peinturlurer ses bonshommes en plastique préférés tout en pensant budget ?

Peinture, figurines et livret A - Dépensons peu, dépensons bien

Jouer pour pas cher, c’est bien, mais ça n’a pas vraiment de sens si c’est pour se ruiner en matériel de peinture derrière. Si notre hobby a la réputation d’être une passion coûteuse, ce n’est pas une fatalité pour autant.

Du bon usage de l’aérographe - De la théorie à la pratique

Maintenant que vous êtes équipé convenablement, passons à la pratique. La première prise en main n’est pas une mince affaire quand on est livré à soi-même : heureusement, on a pensé à vous.

Peinture à l’aérographe : comment s’équiper ? - Harder, faster, Steenbeck

Quand on parle peinture sur figurine, la question de l’aérographe est récurrente : entre gain de temps et de précision, les avantages sont nombreux. Franchir le pas est tentant, mais par où commencer et pour quel budget ?

Les dégâts et l'usure : Les battle damages - La pluie et le beau tank

Donner vie à ses figurines, c’est réussir à les intégrer dans un contexte : on imagine difficilement des vétérans aguerris combattre avec leurs costumes de parade dans des machines neuves qui n’ont jamais vu la bataille.
Et quoi de mieux pour évoquer cela que de représenter les stigmates des combats ?
C’est l’occasion pour nous d’aller un peu plus loin qu’à l’habitude : cette fois, on va parler pigments et peinture à l’huile.

Les dégâts et l'usure : La rouille et la poussière - Tank qui rouille n’amasse pas mousse

Rendre crédibles ses pièces, ce n’est pas que représenter le combat dans toute sa violence ; la guerre, c’est aussi les longues marches d’un champ de bataille à un autre, le matériel qui s'abîme au fil du temps, la météo qui s’en mêle…
Voyons maintenant comment réussir à évoquer ces subtils aspects.

Les dégâts et l'usure : Le weathering - Plongeons dans l'abîmé

Terme assez peu connu au-delà des frontières du modélisme militaire, le weathering consiste à simuler les effets du temps, de la météo et de l’usure sur nos petits bonshommes en plastique. Généralement plutôt utilisé sur des grosses pièces type blindés ou méchas, il ajoute un niveau de crédibilité et un vécu indéniables à la pièce, sans pour autant être particulièrement compliqué à appliquer.

Le secret, c’est la peinture à l’huile.

Les dégâts et l'usure : Le sang - C'est bien votre veine

Pour ajouter un peu de vécu à notre pièce, que ce soit une épave de char ou le bouclier d’un féroce guerrier, il nous est toujours possible de représenter la fureur des combats par le biais de quelques éclaboussures de sang.

De l’importance du soclage - Jouez en sol majeur

C’est les vacances ! L’occasion pour tous de changer d’air et de voguer vers des horizons nouveaux. Et si vous en profitiez pour offrir également un peu de dépaysement à vos pitous préférés par la même occasion ? Parlons peu, parlons socles.