Chez Canard PC, nous sommes nombreux à avoir une grande sympathie pour The Behemoth. Que ce soit grâce à Castle Crashers, Battleblock Theater ou Alien Hominid pour les plus vieux, le studio a une place particulière dans nos cœurs. Imaginez les bonds de joie que j'ai pu faire en apprenant que leur quatrième jeu serait un RPG tactique.
Ça n'est pas faute de le crier sur les toits à longueur de journée (et de nuit si vous avez la malchance d'être mes voisins, désolé) mais il faut jouer à Duelyst. Deux ans après sa sortie, et fort depuis quelques mois d'un partenariat d'édition avec Bandai Namco, le titre de Counterplay Games est-il toujours intéressant et peuplé ou bien est-il finalement tombé dans la funeste spirale qui aspire 95 % de la production de jeux free-to-play ?
Il était une fois un dessin animé appelé My Little Pony : Friendship is Magic, sorti en 2010 et à l'origine destiné aux enfants. À l'origine seulement, puisqu'il a vite attiré une horde de fans quadragénaires, avec leur cortège de perversions bizarres et de DeviantArt affreux. Mais également, on le découvre aujourd'hui, quelques développeurs talentueux.
Depuis la sortie du premier épisode de la série en 2009, je nourris une étrange sympathie envers la série des Dissidia. Généralement résumée à « Smash Bros. avec les persos de Final Fantasy », elle s'avère un peu plus complexe que ça. Et voilà qu'arrive, plus de deux ans après sa sortie dans les salles d'arcade, la version console du troisième épisode.
J'ai toujours pensé que les meilleurs protagonistes de jeux d'action étaient attifés d'écharpes ou de voiles qui soulignent leurs mouvements. Le ninja de Shinobi et son étoffe écarlate, Bayonetta et ses cheveux démesurés en sont quelques exemples frappants. Il faudra désormais compter avec Dandara et son écharpe jaune poussin.
Pour un bon trip régressif, certains aiment se préparer un bon chocolat chaud et le boire devant de vieux dessins animés, quand d’autres préfèrent mettre des couches et se faire fouetter. Une dernière catégorie, plus rare, demande 15 000 dollars et en récupère 32 000 pour développer un dungeon crawler à la mode 16-bit.
Après presque dix ans sans épisode majeur, Street Fighter IV sort durant l'été 2008, sans que Capcom ne se doute du raz-de-marée qui suivra. Amour renouvelé pour Ken et Ryu, ventes de sticks arcade, création d'emplois et résurrection de nombreuses licences laissées dans l'oubli, retour sur un jeu plus influent qu'il n'y paraît.