Rencontre

Interview : Pénélope, jurée à l’As d’Or - Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage

Bérengère Prévost était monteuse vidéo, reste musicienne, mais c’est sous son alias Pénélope qu’elle officie aujourd’hui dans le monde du jeu, sur Twitch et YouTube. L’une des rares à ne pas trouver que tous les jeux sont « fôôôrmidables » ou « un petit coup de cœur ».

Rencontre avec Reiner Knizia - « Je n’ai pas d’enfants, ou alors j’en ai 800 »

C’est un concepteur légendaire. Le plus prolifique de tous les temps, auquel on attribue près de 800 jeux, même si personne n’est vraiment capable d’en faire le décompte exact. Après plus de 40 ans dans le milieu, il est une marque à lui tout seul, qui maîtrise parfaitement son image, et pas uniquement grâce à ses inimitables nœuds papillon. Nous l’avons rencontré.

PlayPunk a du chien - Rencontre avec Antoine Bauza et Thomas Provoost

Résumer quelqu’un par une seule de ses réalisations est toujours hasardeux et réducteur. Pourtant, dire d’Antoine Bauza qu’il est l’auteur de 7 Wonders ou de Thomas Provoost qu’il a fondé Repos Production et importé Time’s Up ! en Europe peut suffire à prouver une chose : ces deux-là connaissent sacrément bien leur boulot.

Rencontre avec Spiral Editions - « C’est une année dingue »

C’est l’une des belles histoires de l’année. Quatre amis qui se disent « Tiens, on va éditer des jeux, mais uniquement ceux qu’on aime ». Normalement, ça se termine dans les larmes, le sang et la liquidation judiciaire.

Rencontre avec les éditions BLAM ! - Le dessous des Cartaventura

BLAM ! Un nom qui sonne comme un coup de poing, cachant un acronyme plus bucolique : Between Lake And Mountain. Un éditeur annécien qui, malgré sa relative jeunesse, a commencé à se faire un nom. Rencontre avec Simon Villiot, son directeur éditorial.

Vous pouvez lire aussi

Altered - Dimension Très Bien

Le métier de chroniqueur pour Canard PC n’est pas toujours facile. Il y a les traumatismes liés aux livraisons aléatoires de jeux et clés des éditeurs. Il y a la fameuse angoisse de la page blanche, où l’on se dit qu’on n’aura jamais assez d’imagination ou d’informations pour atteindre le seuil symbolique des signes requis. Mais il y a aussi une formidable solidarité entre collègues. Sauf quand Perco me fauche l’herbe sous le pied.

Cyclades - Mon panthéon est décousu

J’ai beaucoup pensé à Cyclades en jouant aux Princes de Florence. Même si le jeu de Bruno Cathala et Ludovic Maublanc est plus récent (2009), ils partagent une caractéristique propre à la grande époque des jeux d’enchères. Les achats n’y comptent pas directement pour des points, mais sont des prémices mettant en branle d’autres mécaniques.

Nano9Games Wave 2 - Petit mais costaud

J’ai un faible pour les concepts qui poussent les auteurs dans leurs retranchements. Quand, paraît-il, on a mis les petits meeples dino de Draftosaurus entre les mains d’Antoine Bauza avant de lui dire « ponds-nous un jeu avec ça ». Ou encore les très bons petits jeux édités par Button Shy. Sans parler des concours de BGG qui mettent les créateurs dans des situations impossibles. Et parfois, ça fait des étincelles.

Boreal - Un produit Marque Repère

Après un succès, le second album, mais si vous savez, celui de la maturité, est toujours le plus compliqué. Les Français de Spiral Éditions ont pu préparer la suite dans les meilleures conditions, grâce aux excellentes ventes de District Noir.

Lorcana - Je vais encore me faire Mickey

« Bon Tisseur, c’est toi le spécialiste des JCC, tu nous fais un truc sur Lorcana ?
Euh, c’est que j’avais une histoire en or sur Magic et les Pinker…
Non, mais Magic c’est has-been, on en a marre que tu parles que de ça, faut que tu changes d’air.
Mais je…
–  Allez, tu me ponds une page pour le prochain HS, merci bisous ! »