Je n’aurais jamais cru un jour que j’aurais trop de jeux. Enfant, je n’en avais jamais assez, il fallait toujours que j’en essaie de nouveaux et je n’étais jamais satisfait. Depuis quelques années, je vis exactement l’inverse : j’ai trop de jeux, il en sort trop, et je sature. Et le pire, c’est que ça ne risque pas de s’arranger.
Oni
le 20 décembre 2021