Kahn Lusth me manque. Oh, pas les coups, les brimades ou les insultes, j’ai ackboo pour ça. Non, ce qui me manque le plus, ce sont ses fulgurances poétiques, ces moments hors du temps où ses yeux se perdaient dans le vague et ses lèvres susurraient : « Tain, j’ai encrassé le carbu et y a un con qui m’a coupé ma route, fait chiiiiier ! »
Perco
le 5 juillet 2024