Depuis que j’ai découvert les romans de Becky Chambers, je me suis pris de passion pour le style du solarpunk. À l’opposé du cyberpunk, ce mouvement décrit un monde où l’humanité a réussi à dépasser ses clivages et ses problèmes technologiques pour développer une société harmonieuse. En gros, des Bisounours écolos de l’espace soucieux de la nature. Et parfois, entre deux guerres stellaires et les mondes pollués jusqu’à la racine, ça fait du bien.
Tisseur de rêves
le 14 mai 2025