Les éditeurs font le plus souvent un travail formidable, c’est entendu. À votre grand émerveillement, tout est parfait dans la boîte, prêt à l’emploi, sans une seule faute de goût. Pourtant, malgré cette splendeur, il vous prend parfois l’idée saugrenue de pousser plus loin, de taper dans l’exagération et de vouloir sublimer votre goût pour l’esthétisme. C’est pourquoi j’ai décidé de tremper mes mains dans le cambouis pour proposer un petit florilège des à-côtés, ceux dont on pourrait se passer… ou pas.
Tisseur de rêves
le 10 août 2022