Vous avez déjà entendu l’expression « brouette de d6 » ? Eh bien, ça vient de Shadowrun. Avec son système de réussites, il y a parfois tellement de composantes à prendre en compte pour chaque action, qu’on se retrouve facilement avec plus de dés que ne peuvent en contenir les paluches de Kahn. Mais ce n’est pas le risque de syndrome du canal carpien qui attire les rôlistes vers Shadowrun, mais plutôt son univers foisonnant dans un futur dystopique fait de magie, de cyber-technologie et de méta-humains.