
Badass Force | Expendables : le jeu
Malgré tout mon raffinement et ma délicatesse, j’adore les films de gros bourrins. Les Demolition Man, les Terminator, les Piège de Cristal, John Wick et Bloodsport. J’aime quand ça castagne, quand ça saigne, quand ça tranche et quand ça gicle. Alors quand en plus il s’agit de rendre service à Perco, débordé qu’il est par une montagne de 28 kilos de jeux à traiter pour la veille, je hoche sobrement la tête et je m’exécute, jubilant intérieurement.
Badass Force
Genre : baston, bluffCréateur : Ghislain Masson
Illustrateur : Evgeny Yurichev
Éditeur : Don’t Panic Games
Nombre de joueurs : 3 à 6
Nombre de joueurs optimal : 4 à 5
Durée : 45 min
Complexité : accessible
Surface de jeu recommandée : table de salon
Prix : 28 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

VoiceAttack
VoiceAttack est un utilitaire permettant de lancer des commandes avec la voix. Vous jouez à Boumboum SpaceFighterz 2, vous dites « Laser ! » dans le micro et, pour peu que vous ayez programmé cette commande avec le bon raccourci clavier, VoiceAttack active les lasers sur votre vaisseau spatial.

Alone in the Dark - La peur et l'argent du beurre
En l'espace de trente ans, depuis la sortie du tout premier Alone in the Dark qui avait terrifié une génération entière de joueurs avec une poignée de polygones, des plans fixes sur des portes et des poulets zombies, le monde a bien changé. C'est bien là que réside toute la difficulté d'en faire une nouvelle adaptation aujourd'hui : comment préserver l'essence du premier survival horror de tous les temps, à l'heure où le genre manque cruellement d'idées nouvelles et où les poulets zombies prêtent plus à rire qu'à sursauter ?
Plus de la même catégorie

Discordia - Chômedu neuf avec du vieux
Voici Hans. Hans est allemand jusqu’au bout des ongles. Il aime les eurogames, les plateaux moches, la gestion, les fins de parties qui ressemblent à des tableaux Excel, les thématiques modernes, comme « La Brême et ses exportations ». Hans sait s’amuser.