Je vais être franc : le premier contact avec Death May Die (oui, désolé, mais c'est vachement pénible à écrire, Cthulu... Ctuhluh.... Chtu... Oh et puis Fhtagn.) est un des plus limpides qu'il m'ait été donné de voir. Rédigées sur une quinzaine de pages richement illustrées et jamais avares d'exemples, les règles du jeu se boivent comme du petit lait. De quoi nous mettre dans de bonnes dispositions pour attaquer ce qui est, n'ayons pas peur des mots, un excellent Dungeon Crawler.