Il y a des choses qui ne se disent pas dans le monde du jeu de plateau. De noirs secrets honteux que l’on garde. Voici le mien : les jeux « experts » m’emmerdent. La plupart du temps, les eurogames, héritiers des « kubenbois » allemands, dans lesquels il faut gérer trois mille pistes, deux decks de cartes, vingt ouvriers et ouvrir un tableau Excel pour compter les points, me gonflent copieusement. Pas Federation.