Journal de Maeve, un mardi : « Nous sommes soudés, loin d’un monde hostile. J’y survis grâce à mon mari et mes enfants. Nous sommes bien, isolés depuis la chute, à recycler nos urines, cultiver des rutabagas et se laver une fois l’an, mais toutes les bonnes choses ont une fin. Le danger est proche, je le sens. Je sens aussi le fauve, mais c’est moi, c’est musqué et ça ne me gêne plus tant que cela. »