
Vaalbara | Pousse-toi de là que je m'y mette
Vous en avez fait du chemin avant d’atteindre ces vertes contrées. Vous vous voyez y construire une belle hutte, faire des mômes, semer du quinoa… et bim ! Ça fait pas cinq minutes que vous avez posé vos baluchons que des squatteurs débarquent pile au même endroit ! On n’est jamais tranquille.
Vaalbara
Genre : gestion de main, collectionCréateur : Olivier Cipière
Illustrateur : collectif
Éditeur : Studio H
Nombre de joueurs : 2 à 5
Nombre de joueurs optimal : 3 à 4
Durée : 25 minutes
Complexité : accessible
Surface de jeu recommandée : table basse
Prix : 17 €
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Pourquoi je n’arrive pas à quitter Zelda : Tears of the Kingdom - L’histoire sans fin
Je connaissais la sensation de vertige devant un catalogue de jeux qui déborde, ces dizaines de titres achetés en gros, fantasmés, jamais lancés. Je connaissais la sensation d’une aventure qui s’achève, d’une partie relancée, d’un jeu oublié parfois, mais pas encore celle d’un titre qui m’obsède au point de ne jamais vouloir le quitter.

Fretless – The Wrath of Riffson - La déroute du rock
Si vous lisez tous les articles de ce magazine (vous devriez car derrière le corps musclé de chaque rédacteur, il y a un petit cœur qui bat), vous aurez sans doute deviné que la Gamescom 2023 laissait la part belle aux jeux « à concept ». Pèle-mêle, on y a découvert : un Sims-like, mais avec des personnages dont on peut contrôler l’envie d’aller aux toilettes ! Un rogue-lite, mais dans une voiture ! Un simulateur de camions, mais dans l’espace ! (et encore, on n’avait pas la place de vous parler d’Headbangers : un jeu de rythme sous forme de battle royale, mais avec des pigeons !).
Plus de la même catégorie

Discordia - Chômedu neuf avec du vieux
Voici Hans. Hans est allemand jusqu’au bout des ongles. Il aime les eurogames, les plateaux moches, la gestion, les fins de parties qui ressemblent à des tableaux Excel, les thématiques modernes, comme « La Brême et ses exportations ». Hans sait s’amuser.