L'E3 fut, comme d'habitude depuis des décennies, dominé par les jeux guerriers à gros budget. C'est-à-dire des bonshommes à 100 000 polygones qui se découpent à l'épée, se trouent le bide au fusil d'assaut, s'arrosent à la mitraillette futuriste, font péter des trucs en hurlant « fuck yeah ! ».