Je persiste à avoir la tête en vacances. Enfin, à moitié. Je me lève avec des envies de randonnées et d'air pur, je continue à vouloir photographier la moindre petite fleur pour la mettre sur mon Instagram, mais mon cerveau, lui, accuse déjà le coup de la rentrée. Dès que je le mets devant l'écran du traitement de texte, il essaie par tous les moyens de distordre la réalité, de m'extraire du monde réel pour m'emmener ailleurs.