D’ordinaire, je claironne partout que les meilleures suites sont celles qui changent tout : j’aime quand ce « 2 » à la fin d’un titre est mérité à grand renfort d’audace, d’ambition et de sang neuf. Mais Endzone, c’est pas pareil. J’avais tant apprécié ses jolis décors et son thème post-apo' que là, non, c’est bon, vous pouviez refaire le même, pas de souci. Sauf que le studio avait déjà loué le bulldozer…
Izual
le 30 septembre 2024