| Modifié le le 25 mai 2021
Une carte du monde ocre, une simulation balistique poussée, des toponymes qui finissent par -vka… J'aurais juré que Freeman : Guerrilla Warfare était un jeu russe. Ou polonais, pourquoi pas. Mais voilà, après vérification, j'ai été surpris d'apprendre qu'il s'agissait d'un jeu américain. Qui se faisait donc passer pour un jeu de l'ex-URSS afin de gagner un peu de crédibilité dans le monde des FPS militaro-hardcore. Comme quoi, le pays d'origine d'un studio est un outil marketing comme un autre. Remarquez, on le savait : personne ne jouerait à un simulateur de camion-benne développé ailleurs qu'en Allemagne.