
De l'importance du soleil dans le jeu vidéo | Ou pourquoi je refuse de payer 60 euros pour me taper le climat de l'Écosse
La technologie nous donne les moyens de créer des mondes virtuels fabuleux. Il n'y a pas de limite. Ici, un développeur et son moteur 3D plantent une forêt magique peuplée de lutins farceurs. Là, ils bâtissent un village médiéval tout mignon dans lequel se promènent de joyeux troubadours. Quel intérêt alors d'y faire pleuvoir des cordes et de couvrir le ciel de déprimants nuages gris ?
Recevoir cet article gratuitement
0 personne a chouiné pour avoir accès à cet article
Voir le classementInscrivez-vous pour chouiner et réclamer l’accès à cet article
Article premium réservé aux abonnés
Faites-vous offrir des articles par vos amis abonnés ! Pas d'amis ? Chouinez auprès des abonnés pour obtenir gratuitement accès aux articles !
Pas de compte ?
S'inscrire gratuitementVous pouvez y accéder avec l'abonnement suivant :
Accédez au contenu premium, offrez des articles à vos amis, votez pour rendre gratuits certains articles et plein d'autres choses.

Canard PC
Jeu Vidéo
Déjà abonné ?
Se connecterRecevoir cet article gratuitement
0 utilisateur a voté pour rendre cet article gratuit
Voir le classementConnectez-vous pour pouvoir voter pour cet article
Plus d'articles

Sur PLATO, la vie clandestine des pionniers du jeu vidéo
Il y a cinquante ans, un système informatique d’un nouveau genre, le PLATO, se répand comme une traînée de poudre dans les universités des États-Unis. C’est la première fois qu’on utilise une série d’ordinateurs pour enseigner à grande échelle. Mais les étudiants découvrent vite que le système PLATO permet de créer des jeux vidéo clandestins… que les administrateurs traquent sans pitié.
Plus de la même catégorie

En attendant Diablo - Ou pourquoi l'industrie du jeu vidéo n'a pas besoin des jeux
En juin dernier, une certaine Stacey Henley écrivait sur le site TheGamer que Diablo 4 lui avait fait redécouvrir la joie enfantine du jeu vidéo, le plaisir de lancer une partie, de s'amuser immédiatement, sans fioritures ni prise de tête. Le jeu à l'état pur. Trois mois plus tard, je dois lui donner raison : Diablo 4 est un précipité de jeu vidéo et un résumé de ce qu'est son industrie. Ce qui n'est pas forcément un compliment.

Le charme désuet des éditeurs de carte - Monts & merveilles
À chaque E3, lorsque Ivan grimace devant les annonces de jeux ultramodernes en marmonnant « de mon temps, on avait un bilboquet et on était déjà bien contents », j’opine du chef. Car si je n’ai pas connu la bienheureuse époque des jouets en bois et du plein emploi, j’ai moi aussi eu un genre de bilboquet que les jeunes d’aujourd’hui dédaignent à tort. J’ai eu les éditeurs de carte.